Sortez de l'Etat républicain!

De toute urgence : Sortez l’État Républicain de votre vie !

   - Ce cancer, ce virus, ce parasite, cette sangsue, vous impose ce que vous devez penser et dire par une propagande massive et assommante : tous les médias de masse et son flot continu de sous culture mercantile anglo-saxonne et d’art contemporain, dont chaque artefact est un parasite qui a pour objectif de détruire en vous tout sens du beau et du bien. Propagande qui sans cesse inverse les valeurs, qui place en dessous ce qui doit être au-dessus : le mal plutôt que le bien, le laid plutôt que le beau, la somme des intérêts particuliers plutôt que le bien commun, la mort plutôt que la vie, l’individu plutôt que la famille, …

   - Il vous pousse sans cesse dans le sens du consumérisme le plus déchaîné et le plus violent. Ainsi, le stade ultime du consumérisme sera bientôt atteint par la mise sur le marché de l’enfant devenu un produit de consommation courante. Bien entendu, liberté oblige, production dont on pourra supprimer les sujets non conformes ou non désirés. L’État Républicain, ayant désormais perdu tout étalon moral, promulgue des lois iniques réduisant l’être humain à un simple objet : « L’État sait ce qui est bon pour nous. Non, la loi ne nous protègera pas de l’horreur, c’est l’horreur que la loi est en train d’organiser. L’enfant peut désormais être acheté avant sa naissance, avorté, euthanasié, arraché à ses parents pour raisons médicales ou soustrait aux déterminismes familiaux, comme le souhaitent Peillon et Taubira. Quant à l’adulte il a le droit de se soumettre aux élites qui pensent pour lui avant d’accepter de mourir au nom du mépris de soi-même, du mépris de la vie et du service de la collectivité. » (Le Printemps Français, lettre d’information N°29 du 05/12/2013)

   - Par ses puissants outils au service du mensonge, tels que les ministères de l’éducation nationale ou encore de la culture et de la communication, l’État Républicain façonne l’esprit de vos enfants dans le sens du relativisme généralisé et de la déshumanisation programmée : relativisme des valeurs morales, relativisme religieux, relativisme historique, … Bref, vous devez croire en cette nouvelle religion qui proclame haut et fort qu’il n’y a plus de vérité. Car si tout est relatif, alors il n’y a plus de vérité.

   -Cette sangsue enfin qu’est l’État Républicain, qui n’est qu’une idéologie de mort se matérialisant en administration tentaculaire de domination, pour survivre et rincer ses colporteurs et complices de tout poil, ponctionne le fruit de votre travail par des impôts aujourd’hui devenus de la pure et simple spoliation. Tel un drogué qui a toujours besoin d’une dose plus puissante pour retrouver les mêmes effets, l’État Républicain vous prend le fruit de votre labeur afin de survivre : perfusé qu’il est de partout, cette sangsue vous vole votre argent.

   Comprenez bien que l’État Républicain est un parasite social, économique, culturel et moral : il est à proprement parler un monstre !

http://www.allianceroyale.fr/articles/actualites/436-sortez-de-letat-republicain

Oui vite une contre révolution .

Commençons par sortir les socialistes !

Pourquoi les socialistes .... les mafieux de droite sont meilleurs ?

[...]une propagande massive et assommante : tous les médias de masse et son flot continu de sous culture mercantile anglo-saxonne [...]. Propagande qui sans cesse inverse les valeurs, qui place en dessous ce qui doit être au-dessus : le mal plutôt que le bien, le laid plutôt que le beau, la somme des intérêts particuliers plutôt que le bien commun, la mort plutôt que la vie, l’individu plutôt que la famille…

Une royauté n'utiliserait pas les médias actuels pour faire passer ses messages ? C'est juste contredit par le fait que ce texte puisse être lu par tout le monde.

Inversion du sens des valeurs, privilège du laid et du mal ? Des exemples seraient utiles à la compréhension de la dénonciation, sinon ça vaut que dalle !

Il me semble pourtant que l'histoire du royalisme a amplement démontré que les sommes d'intérêts particuliers prévalaient aussi à l'époque : classes dirigeantes issues de la noblesse de robe ou de la bourgeoisie, lesquelles se distribuaient ou achetaient charges et honneurs, prébendes et privilèges… ; clergé partie prenante dans la direction du royaume et nommant par ci par là, avec accord royal, les évêques, les cardinaux, avec les avantages et autres rentes dus aux terres ecclésiastiques, par exemple ; et tout ça avec ou sans la bénédiction de Rome... Ça c'est beaucoup fait, beaucoup. Demandait-on l’avis au peuple ?

Il vous pousse sans cesse dans le sens du consumérisme le plus déchaîné et le plus violent. Ainsi, le stade ultime du consumérisme sera bientôt atteint par la mise sur le marché de l’enfant devenu un produit de consommation courante. Bien entendu, liberté oblige, production dont on pourra supprimer les sujets non conformes ou non désirés.

Délire malthusien. Sur la notion du consumérisme exacerbé, je suis d’accord. Mais rien à voir avec la république, les régimes monarchiques du monde actuel prouvent que le consumérisme est protéiforme. Ce qui ne le rend pas plus acceptable, nous sommes d‘accord. Mais là il appartient à chacun ne pas succomber, peu importe qui dirige, et comment.

L’État Républicain promulgue des lois iniques réduisant l’être humain à un simple objet : « L’État sait ce qui est bon pour nous » […]

 C’est vrai, sommes-nous cons quand même ! Les rois demandaient toujours l’avis du peuple et de ses représentants avant de décider de tels ou textes. Je ne me rappelais plus que la révocation de l’Edit de Nantes avait fait l’objet d’un référendum. Par exemple... Pourtant cet édit avait été un acte et un texte fondateurs de la France de l'époque, non ?

Quant à l’adulte il a le droit de se soumettre aux élites qui pensent pour lui avant d’accepter de mourir au nom du mépris de soi-même, du mépris de la vie et du service de la collectivité. »

Pas grand de nouveau sous le soleil dans ce cas. En restant sans l’exemple du dessus, quid des vaudois et des protestants massacrés par les dragons du roi car ils refusaient de se soumettre à la doxa religieuse royale ? Quid des financiers français, pour la plupart protestants, qui ont dû émigrer en Hollande, en Angleterre, en Allemagne luthérienne, emportant avec leurs fortunes et leurs capacités de prêt et entrainant de ces faits un effondrement de l’économie française à l’époque ? Quid du respect de la vie et de la liberté de penser, du service à la « collectivité » ?

[…] l’État Républicain façonne l’esprit de vos enfants dans le sens du relativisme généralisé et de la déshumanisation programmée : relativisme des valeurs morales, relativisme religieux, relativisme historique, …

Relativisme historique ? Il va falloir expliquer là, car jeter comme ça, sans explication, ça fait un peu léger comme argumentaire.

Sur les notions de relativisme religieux et moral, je suis assez perplexe. Je suis athée certes, laïc aussi, mais ça ne m’empêche pas de partager l’idée que l’un des excès de la laïcité est d’avoir rangé au placard des valeurs morales qui étaient issues de la religion et qui quelque part avaient malgré tout façonné nos valeurs et notre morale. Mais dans ce cas, ne pourrait-on dire ici que les élites de l’époque auraient elles aussi façonné les esprits ? Tiens, tiens…

Cette sangsue enfin qu’est l’État Républicain, qui n’est qu’une idéologie de mort se matérialisant en administration tentaculaire de domination, pour survivre et rincer ses colporteurs et complices de tout poil, ponctionne le fruit de votre travail par des impôts aujourd’hui devenus de la pure et simple spoliation.

C’est vrai, comme si les Missi dominici, les collecteurs royaux, les barons, les marquis, les évêques et cardinaux n’étaient pas des tentacules de l’État royal, quand bien même, à l’instar de nos régions et départements, ils avaient

[…] Comprenez bien que l’État Républicain est un parasite social, économique, culturel et moral : il est à proprement parler un monstre !

Alors que l’État royal était un modèle. On se demande pourquoi il y eut la révolution de 1789 sous Louis XVI, celle de 1830 sous Charles X, et celle de 1848, sous Louis-Philippe. Trois révolutions, trois royautés, dont deux avaient éjecté la République ! Étaient-ils si justes ces rois pour que le peuple se révoltât ?

Ami enchanteur, je suis impatient de vous lire.

Jean de Meung a écrit:Demandait-on l’avis au peuple ?

On parle de l'Alliance Royale, ils sont démocrates. M'est avis que c'est une grosse connerie. Mais bon c'est leur truc une sixième république avec un roi :
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Jean de Meung a écrit:protestants massacrés par les dragons du roi

Ils aiment beaucoup les édits de tolérance là haut. M'est avis que les adeptes de la religion prétendue réformée c'est l'Anti France
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Jean de Meung a écrit: Alors que l’État royal était un modèle

Lequel ? Clovis ou le roi citoyen ? C'est AR hein...Leur modèle c'est en gros la reine d’Angleterre ou le roi des belges...
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Tu parles d'une pirouette. Que n'as-tu éclairé les lanternes en postant ton sujet.