C'était aujourd'hui

J'ajouterai à celà que les déclarations d'intentions de mars 1962, qu'avait signées Krim Belkacem seul au nom du GPRA, et qui comportait la clause de "cessez le feu", ne furent pas suivi d'effet sur le terrain donc en Algérie, par le FLN qui ne se sentait pas engagé. Seule l'armée française respecta ce cessez-le-feu, cessant toutes ses opérations contre les bandes de fellagha, gonflées par les résistants de la 25ème heure. Cette armée française qui devait se faire complice du FLN en tournant ses armes contre les patriotes français. Il y eut ainsi àn partir de 19 mars 1962 et jusqu'au 5 juillet, plus de crimes du fait du terrorisme FLN que durant toute la durée de la "guerre" commencée en Novembre 1954 !

5 juillet 1932

António Salazar devient Président du Conseil des Ministres portugais, il restera à la tête de l'état jusqu'en 1968.

Pourquoi Salazar vient-il verrouiller mes informations sur le 5 juillet 1962 ? J'estime que les 1.500 morts de ce jour sanglant, où l'armée gaulliste resta l'arme au pied, ont plus d'importance que Mr Salazar !

6 juillet 1189

Richard Cœur de Lion devient roi d'Angleterre. Il possède également d'immense territoires en France ou il passa la majeure partie de son règne quand il n'est pas en croisade.

Son royaume se rapproche à celui de Logre qui s'étend des îles d'orcanie (île Orcade) jusqu'a l'aquitaine.

8 juillet 1827

Le célèbre corsaire français Surcouf, meurt dans sa maison de campagne qu'il possédait près de Saint-Servan.

Sans le savoir tu a mis un clip que j'adore. Un de mes ancêtres navigua comme corsaire et fut le maître d'équipage de Surcouf, j'ai hérité de ces deux pistolets (qui fonctionnent toujours) et de son sabre.

9 juillet 1472 :

La ville de Beauvais repousse les armées de Charles le Téméraire (duc de Bourgogne), grâce à ses femmes, et notamment la célèbre Jeanne Hachette.

chez les français, ce sont les femmes qui portent culotte. M'etonne pas, "l'esprit gaulois" deja dans la guerre des gaules ....

Merl1 a écrit:9 juillet 1472 :

La ville de Beauvais repousse les armées de Charles le Téméraire (duc de Bourgogne), grâce à ses femmes, et notamment la célèbre Jeanne Hachette.

Moi, Jeanne Hachette ma viande que chez mon boucher !!  

11 juillet 1947 :

Le paquebot Président-Wardfield appareille du port de Sète, en direction de la Palestine, avec à son bord, 4 400 juifs, survivants des camps de l'Allemagne nazie. Pendant la traversée, les passagers nomment le navire Exodus en souvenir du périple de Moïse vers la Terre sainte.
N'ayant pas de visa en règle pour la Palestine, les autorités anglaises arraisonnent le navire et renvoient les passagers en Allemagne.

12 juillet 1790 :

Adoption de la constitution civile du clergé en France.

La Constitution civile du clergé est un décret adopté par l'Assemblée nationale constituante le 12 juillet 1790. Elle réorganise le clergé séculier français, et provoque la division de celui-ci en clergé constitutionnel et clergé réfractaire. Elle sera condamnée par le pape Pie VI et abrogée par le Concordat de 1801.

13 juillet 1793

Assassinat de Marat par Charlotte Corday.

J'aime beaucoup Charlotte Corday, elle a eu du courage et du mérite... Elle voyait que la révolution allait trop loin, dans le sang. En tuer un seul ne changeait malheureusement pas grand chose, et donc il aurait été préférable de ne pas le faire, surtout qu'elle a perdue sa tête après. Trop de sang que cette révolution a fait.

Discours d'un politicien idéaliste.

Louis-Henri a écrit: En tuer un seul ne changeait malheureusement pas grand chose

Mais si, ça fait de jolis tableaux...  

14 juillet 1790

Fête de la Fédération célébrée au Champ-de-Mars de Paris, le 14 juillet 1790, premier anniversaire de la prise de la Bastille. On y vit réunis les députés des 83 départements. Louis XVI assista à cette fête, et y prêta serment à la Nation et à la loi.


"La Fête de la Fédération a fait le monde moderne. En mettant en contact sympathique des populations jusqu’alors étrangères les unes aux autres, de races, d’origines différentes, distinctes par les mœurs, par le langage, par les lois ; en les groupant dans une grande manifestation pacifique, en leur apprenant en un mot à se connaître et à s’aimer, la Fête de la Fédération a fondé, sur des bases indestructibles, l’unité de la patrie ». D’ailleurs, c’est ce dernier événement que la fête nationale est censée rappeler, en priorité, plus encore que le premier, fort controversé…

Quelques décennies après, l’historien monarchiste Pierre Gaxotte (1895-1982) répliquait, à sa façon, à ce discours par un texte ironique, publié dans l’été 1939, quelques jours avant le début de la Seconde guerre mondiale : « Le 14 juillet est devenu la fête de l’unité française. Devenu, ou plutôt redevenu. Historiquement et légalement en effet, notre 14 juillet ne commémore pas la délivrance des faux-monnayeurs et des satyres qui étaient emprisonnés à la Bastille, mais bien la fête de la Fédération qui eut lieu, en 1790, au Champ-de-Mars.

(…) Quoique agrégé d’Histoire, M. Daladier avait, par prudence, recouru à la science de M. le Directeur des Archives nationales (…). Je ne m’explique pas comment, à eux deux, ils ont pu commettre, dans leur reconstitution, deux énormes oublis.

La fête de la Fédération consista d’abord en une messe solennelle chantée par un évêque. Cette année, pas de messe.
Pour la présider, il y avait un roi, circonstance importante et nécessaire. Un roi, monsieur le président, un vrai roi à fleurs de lys, avec sa femme, son fils, sa fille et sa sœur. Puisque vous vouliez que votre fête révolutionnaire et commémorative de l’unité française fût exacte, il fallait y mettre le roi. Il fallait rétablir la monarchie. Sinon, ce n’est plus de l’histoire, c’est du roman ». Il est vrai que les deux « 14 juillet » se sont déroulés quelques années avant la République, en un temps où cette idée même apparaissait incongrue en France, et que, au grand dam de nos républicains, les deux se sont faits aux cris de… « vive le roi », y compris pour mieux, dans celui de 1789, violer la loi…"

La suite : http://www.actionfrancaise.net/craf/?Que-celebre-t-on-le-14-juillet

Merl1 a écrit:17 août 1987 :

Rudolf Hess est assassiné dans sa prison de Spandau. Il a 93 ans.

Rouedolph faisse?  

Il s'était pas pendu ?

Y a beaucoup de gens qui se "pendent" en prison quand ils sont indesirables, comme c'est etrange.

C'était tout de même le prisonnier le plus cher du monde, 50 gugusse pour le garder avec la prison à lui tout seul, mon prof de français pour son service militaire on l'a emmené en Allemagne comme mon grand père et pas mal de corse, mais mon ancien prof il a été garder Hess à sa prison

15 juillet 1099 :

Après un siège d'un mois, Jérusalem tombe dans les bras des croisés. Godefroy de Bouillon et Raymond de Toulouse sont à la tête de 1500 chevaliers et quelques 20000 hommes d'arme, la garnison est massacré et la population civile subit de lourdes pertes (20 000 à 70 000 morts suivant les sources).

16 juillet 1945

Explosion de la première bombe atomique au Nouveau-Mexique. Fruit du Projet Manhattan, l'essai porte le nom de Trinity.
À 5 h 30 le 16 juillet 1945, Gadget (le nom de la bombe) explosa avec une puissance équivalente à environ 20 kt de TNT et laissa un cratère de 76 m de diamètre. L'onde de choc fut ressentie jusqu'à 160 km et le nuage en champignon s'éleva jusqu'à l'altitude de 12,1 km.

17 juillet 1918

Nicolas II Tsar de toutes les russies , sa femme Alexandra Fedorovna, ses quatre filles Olga, Tatiana, Maria et Anastasia, son fils le tsarévitch Alexis (13 ans), le médecin de la famille Ievgueni Botkine, la femme de chambre Anna Demidova, le valet de chambre Alexeï Trupp et le cuisinier Ivan Kharitonov, sont assassinés dans la nuit du 16 au 17 juillet 1918 par les soviétiques.

18 juillet 1870

Inscription officielle de l'infaillibilité pontificale comme dogme de l’Église Catholique Romaine.

"Le Pontife romain, chef du collège des évêques, jouit, du fait même de sa charge, de cette infaillibilité quand, en tant que pasteur et docteur suprême de tous les fidèles, et chargé de confirmer ses frères dans la foi, il proclame, par un acte définitif, un point de doctrine touchant la foi et les mœurs."