Jean Zay au Panthéon - Un article abject dans Rivarol.

Rivarol, journal, ou plutôt torchon d’extrême droite anti-sémite publie dans son numéro du 28 mai et sur une page entière un article ignoble sur notre Frère Jean Zay, titré « Jean Zay figure de l’Anti-France ». On peut y lire des phrases telles que :  Jean Zay dans leur Panthéon, dans ce bac à urine maçonnique … L’Anti-France avait balancé ses Lumières à l’intérieur ; nous savons maintenant qu’elle sait également, crâneuse, y remiser ses cloportes. … la décision de Hollande, cédant insensiblement aux pressions du Grand Orient, de “canoniser” le nabot abject du Loiret …  Que ces imbéciles poursuivent cet étalage de fripouilles faisandées et c’est tout leur Panthéon qui possédera l’odeur de la charogne … la présence d’écoliers carrément réquisitionnés pour faire la claque au squelette maçonnique …  Zay veut la guerre, là, il veut bien que crèvent les pauvres gueux ; il veut bien que les Quinze cent mille se sacrifient non pour cette saloperie tricolore mais pour l’étoile à six branches gravé sur la nuque du troufion abruti de propagande …

Et dire que des gens qui se disent journalistes écrivent et publient aujourd’hui encore de telles ignominies, de telles saloperies. On est loin du débat d’idées !…

Ce torchon publie aussi dans le même numéro un petit article titré « l’Express révèle que Valls a été franc-maçon pendant 16 ans » et qui se termine par : On comprend mieux sa haine contre les catholiques, lui qui, ministre de l’Intérieur, les a fait matraquer par sa police lors des manifestations massives contre le “mariage” homosexuel. « On comprend mieux », qu’il dit… De l’utilité des articles de monsieur Koch.

https://www.hiram.be/un-article-abject-dans-rivarol/


Il faut aller lire les commentaires...

LE JACK LANG DU NOUVEAU FRONT NATIONAL
par François-Xavier Rochette

Posted on 9 juin 2015







LE JACK LANG DU NOUVEAU FRONT NATIONAL

Ils en rêvaient, les mignons l’ont !
Ils ont leur homme cultureux avec toutes les caractéristiques conformes
à sa tâche de dilettante. Ils l’ont enfin leur Jack Lang aux yeux vitreux !
Ils l’ont ! Et cet homme dépasse déjà en termes de ressources et de capital
symboliques homosexuels la tête de l’ancien ministre de la Culture.
L’on reparle de Sébastien Chenu, européiste quand ça payait de ce côté-là,
militant homosexualiste à l’UMP où il en a fait des tonnes jusqu’à l’écoeurement
et jusqu’au dernier moment de béatitude de Roselyne Bachelot.
Evidemment proche de Philippot, il l’est également de Gilbert Collard
et tout aussi fraternellement.
Il n’aura donc pas fallu beaucoup de temps avant que ce copilote de char à la Gay Pride devienne une autorité puissante dans le parti dégénéré.
Non seulement super cadre aux côtés des hétérophobes Bruno Bilde, Steeve  Briois,
Eric Domard, Chenu qui est désormais dans les media le bon petit soldat de Marine Le Pen  
est devenu la semaine dernière le président du dernier collectif organisé
par les petites mains marinistes.
La chose s’appelle le CLIC pour Culture, LIbertés (un vocable conjugué toujours
inquiétant quand il sort de la bouche d’un Chenu ou d’un Philippot), et Création.
La clique des précieux qui ne connaît rien à la culture mais dont les membres savent
tenir comme il faut une coupe de champagne, par la jambe et jamais par le bouton,
au cours d’un vernissage de plâtres phalliques ou de sapins de Noël hardcores
pour élargir lasphère de leurs connaissances en postillonnant leur trop plein d’émotions
sur les visages de démon de la même espèce qu’eux et qui n’attendent qu’une chose
de leur journée culturelle.
Le site, rudimentaire, du CLIC n’apprend pas grand-chose au curieux.
Le texte de présentation est prudent, parfois ampoulé pour faire laborieusement
dans le “patriotisme” (comme si Chenu savait ce qu’est le patriotisme, on croit rêver !),
mais on doute fortement que la description offerte ici soit conforme à la réalité.
Il ne faut pas être devin pour connaître la suite de cette aventure cultureuse.
Philippot a été vu à la Gay Pride de Nancy avec ses camarades de jeu.
Nul doute qu’à la tête du CLIC Sébastien Chenu et sa clique paraderont dans les chars
des prochaines Gay Pride dont ils sont des habitués.




Suite de l’article de François-Xavier Rochette dans le Rivarol n° 3192 du 11 juin 2015.

Site du journal Rivarol :

http://www.rivarol.com/Rivarol.html

RIVAROL persécuté régulièrement, où se trouve la "liberté d'expression" ?

https://www.youtube.com/watch?v=tAd-6sE_mD8

" Jérôme Bourbon agressé : une analyse ":

Dans cette courte vidéo, je tire les enseignements non seulement de l'agression
dont a été victime Jérôme Bourbon, mais aussi de la façon dont elle est exploitée
sur les réseaux sociaux et par certains organes de presse.




https://www.youtube.com/watch?v=KbQ0ixkuloY&feature=youtu.be

Les 25 ans de la loi Gayssot et la crise au Front national.
   

Le 16 juillet 1995, il y a vingt ans jour pour jour, Jacques Chirac,
qui venait deux mois plus tôt d’être élu à la présidence de la République,
prononçait au Vel d’Hiv un discours solennel condamnant officiellement la France
pour son rôle dans la déportation des juifs :

« ces heures noires souillent à jamais notre histoire, et sont une injure à notre passé
et à nos traditions.
Oui, la folie criminelle de l’occupant a été secondée par des Français, par l’Etat français.
(…)
La France, patrie des Lumières et des Droits de l’Homme, terre d’accueil et d’asile,
la France, ce jour-là (lors de la rafle du Vel d’Hiv le 16 juillet 1942),
accomplissait l’irréparable.
Manquant à sa parole, elle livrait ses protégés à leurs bourreaux. »

Cet acte réclamé à cor et à cri par Klarsfeld avait été refusé avec une grande dignité
par François Mitterrand, malgré sa maladie, jusqu’au terme de son second septennat.

« La France n’a pas d’excuse à donner, ni la République.
A aucun moment je ne l’accepterai. Je considère que c’est une demande excessive
de gens qui ne sentent pas profondément ce que c’est d’être Français,
l’honneur d’être Français et l’honneur de l’histoire de France.
C’est l’entretien de la haine.
Et ce n’est pas la haine qui doit gouverner la France »
répondait-il en 1994 à Jean-Pierre Elkabbach.
Le journaliste se montrant très insistant, Mitterrand avait eu cette formule plutôt étonnante :
« Vous voulez quoi ? Que je me convertisse ! »



Très irrité par l’insistance que Klarsfeld manifestait pour qu’il condamnât officiellement
la France, après que le même homme eut fait pression pour qu’il ne fleurît plus la tombe
du maréchal Pétain à l’île d’Yeu chaque 11 novembre, Mitterrand, quelques heures
de quitter définitivement l’Elysée le 17 mai 1995, confia à l’académicien Jean d’Ormesson
dans ce qui peut apparaître comme un testament politique :

«Vous voyez dans cette affaire l’influence puissante et nocive du lobby juif».


Quelques jours plus tôt, François Mitterrand avait déjà suscité l’étonnement en s’exclamant
dans son discours de Berlin le 8 mai 1995, à l’occasion du cinquantième anniversaire
de l’armistice :

« Je ne suis pas venu célébrer la victoire.
Je ne suis pas venu souligner la défaite parce que j’ai su ce qu’il y avait de fort
dans le peuple allemand, ses vertus, son courage, et peu m’importe son uniforme
et même l’idée qui habitait l’esprit de ses soldats qui allaient mourir en si grand nombre.
Ils étaient courageux. »

Son successeur ne tint pas le même discours.
Désireux de « payer sa dette électorale à la communauté juive » qui l’avait fait élire,
ainsi que l’avait dit avec son franc-parler habituel Jean-Marie Le Pen,
Jacques Chirac condamna solennellement le pays dont il présidait aux destinées,
ce qui est une infamie et s’apparente à un acte de haute trahison.
Jusqu’où les politiciens sont-ils prêts à se vautrer pour  complaire au Lobby
qui assure leur carrière ?
En reconnaissant la culpabilité de la France, Chirac a ouvert la voie à des chantages
financiers incessants (dont témoignent entre autres les réparations réclamées à la SNCF
par le lobby juif d’outre-Atlantique) et à une concurrence victimaire dans laquelle
se sont engouffrés dans notre pays tous ceux qui s’autoproclament
descendants d’esclaves ou de colonisés.



Suite de l’éditorial de Jérôme Bourbon  dans Rivarol n° 3197 du 16 juillet 2015.

Site du journal  Rivarol  

http://www.rivarol.com/Rivarol.html

" Venger Jérôme Bourbon ? ":


Après l'agression de Jérôme Bourbon, des gens ont appelé à la vengeance.
Dans cette courte vidéo, j'explique pourquoi, d'un point de vue pratique et,
surtout, philosophique, une vengeance serait contre-productive.
J'appelle au contraire à continuer le combat suivant deux axes :

- vérité et amnistie générale.

Qu'est-ce à dire ?

Réponse dans cet éditorial.





https://www.youtube.com/watch?v=frpVllPUc9Y&feature=youtu.be