30 juin 1931 : naissance de Bert Eriksson.
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30 juin 1931 : naissance de Bert Eriksson.
30 juin 1931 :
naissance de Bert Eriksson.
Armand Albert Eriksson est né à Anvers, le 30 Juin 1931 d’un père finlandais,
capitaine de marine, et d’une mère flamande.
Au cours de la Seconde Guerre mondiale, il rejoint les Jeunesses hitlériennes en Flandre.
Cet engagement lui vaut, en septembre 1944, à l’âge de treize ans,
d’être conduit en prison encadré par deux “résistants” lourdement armés.
A partir de 1951, et jusqu’en 1962, Eriksson sert l’armée royale belge
dans le prestigieux Régiment des Para-commandos.
Il est volontaire pour la guerre de Corée.
C’est là qu’il apprend à rejeter tout ce qui relève du marxisme…
A son retour, il rejoint les militants nationalistes flamands et va militer toute sa vie.
Il travaille pendant un certain temps comme vendeur pour une brasserie.
En 1968, Eriksson ouvre un café dans la rue Ballaert à Anvers, le Café Odal,
qui est rapidement devenu un lieu de rassemblement pour les nationalistes flamands.
Sous son autorité, le VMO devient le “Vlaamse Militanten Orde”
et acquiert la célébrité dans la Flandre toute entière, avec ses uniformes, ses drapeaux,
sa propagande électorale pour la Volksunie
(jusqu’à ce que celle-ci se dévoie totalement
et s’enlise dans une fange gauchiste nauséabonde…).
Le VMO assure les services d’ordre de ce parti, qui le trahira,
et mène toutes les tâches les plus ingrates du militantisme.
En 1973, Eriksonn avec un commando de huit hommes
(dont les futurs députés fédéraux du “Vlaams Blok” Xavier Buisseret
et John Spinnewijn), ramènent en Flandre les ossements
du prêtre nationaliste Cyriel Verschaeve de Solbald Hall en Autriche,
où il a été enterré après 1945.
Le vigoureux curé, philosophe et historien de l’art, ministre du gouvernement flamand en exil
en Allemagne en 1944-1945, jusqu’au boutiste et maximaliste dans ses revendications
malgré sa très grande érudition, sa sagesse et son grand âge, a ainsi été enterré
dans le cimetière de sa paroisse, à l’ombre de son majestueux clocher d’Alveringhem
en Flandre Occidentale.
En 1978, Eriksson récidive et ramène à la surface les restes du chef du VNV Staf De Clercq,
enfoui ignominieusement dans une fosse anonyme du cimetière de Leerbeek en 1944
(après avoir été déterré par les “résistants” communistes et belgicains et promené
dans les bistrots de la région, pour être profané par les ivrognes “patriotes” ).
Les restes du chef nationaliste, mort de mort naturelle en 1942, sont transférés,
à la suite de l’action menée par Eriksson, dans le cimetière d’Asse,
pour qu’il puisse reposer enfin aux côtés de son épouse et retrouver ainsi une sépulture digne.
Le VMO est constamment poursuivi, souvent pour des futilités,
plus rarement pour des faits sérieux.
Bert Eriksson ne pouvait prévoir les provocations d’agents de la Sûreté belge.
Les procès se succèdent, jusqu’au grand procès du VMO en 1983,
au terme duquel le groupe nationaliste est condamné en tant que “milice privée”.
Eriksson écope d’une lourde peine : un an de prison ferme.
Quelques militants ont reçu des amendes astronomiques.
L’organisation dissoute, Bert Eriksson,
la reconstitue avec la création d’une nouvelle structure militante, le « Groupe Odal ».
Bert Eriksson poursuit son combat pour le mouvement nationaliste flamand,
notamment en soutenant activement le réseau révisioniste VHO,
mené par d’anciens responsables du VMO, et la « division flamande » de Blood and Honour
après sa rencontre avec Ian Stuart Donaldson suite au concert qu’il lui a organisé à Anvers
(Bert Eriksson lors d’une réunion de Blood and Honour pour l’anniversaire du Führer)
Il meurt à l’âge de 74 ans à Westdorpe
d’une maladie pulmonaire, le 20 octobre 2005.
Après la mort, de Bert Eriksson, le Vlaams Belang lui rendit un vibrant hommage
dans son organe de presse officiel (Vlaams Belang magazine de novembre 2005).
Il se termine ainsi :
«Bert Eriksson fut un homme qui ne laissait aucun commentateur indifférent:
il était d’un courage et d’une trempe exceptionnels.
Il est resté fidèle à la cause nationaliste flamande et à la construction
d’une Europe nouvelle.
Il exigeait beaucoup de ses hommes et acceptait pour lui-même les pires risques.
Il croyait dur comme fer à ses idéaux et les concrétisait de manière
romantique et exaltée.
Dans les années qui ont suivi la dissolution du VMO,
Eriksson a suivi une voie politique qui n’était pas celle du Vlaams Blok.
Cela ne nous empêche pas de reconnaître aujourd’hui qu’il fut un rude combattant,
inflexible, qui a toujours lutté pour ses idéaux. »
Source :
http://la-flamme.fr/category/non-classe/
naissance de Bert Eriksson.
Armand Albert Eriksson est né à Anvers, le 30 Juin 1931 d’un père finlandais,
capitaine de marine, et d’une mère flamande.
Au cours de la Seconde Guerre mondiale, il rejoint les Jeunesses hitlériennes en Flandre.
Cet engagement lui vaut, en septembre 1944, à l’âge de treize ans,
d’être conduit en prison encadré par deux “résistants” lourdement armés.
A partir de 1951, et jusqu’en 1962, Eriksson sert l’armée royale belge
dans le prestigieux Régiment des Para-commandos.
Il est volontaire pour la guerre de Corée.
C’est là qu’il apprend à rejeter tout ce qui relève du marxisme…
A son retour, il rejoint les militants nationalistes flamands et va militer toute sa vie.
Il travaille pendant un certain temps comme vendeur pour une brasserie.
En 1968, Eriksson ouvre un café dans la rue Ballaert à Anvers, le Café Odal,
qui est rapidement devenu un lieu de rassemblement pour les nationalistes flamands.
Sous son autorité, le VMO devient le “Vlaamse Militanten Orde”
et acquiert la célébrité dans la Flandre toute entière, avec ses uniformes, ses drapeaux,
sa propagande électorale pour la Volksunie
(jusqu’à ce que celle-ci se dévoie totalement
et s’enlise dans une fange gauchiste nauséabonde…).
Le VMO assure les services d’ordre de ce parti, qui le trahira,
et mène toutes les tâches les plus ingrates du militantisme.
En 1973, Eriksonn avec un commando de huit hommes
(dont les futurs députés fédéraux du “Vlaams Blok” Xavier Buisseret
et John Spinnewijn), ramènent en Flandre les ossements
du prêtre nationaliste Cyriel Verschaeve de Solbald Hall en Autriche,
où il a été enterré après 1945.
Le vigoureux curé, philosophe et historien de l’art, ministre du gouvernement flamand en exil
en Allemagne en 1944-1945, jusqu’au boutiste et maximaliste dans ses revendications
malgré sa très grande érudition, sa sagesse et son grand âge, a ainsi été enterré
dans le cimetière de sa paroisse, à l’ombre de son majestueux clocher d’Alveringhem
en Flandre Occidentale.
En 1978, Eriksson récidive et ramène à la surface les restes du chef du VNV Staf De Clercq,
enfoui ignominieusement dans une fosse anonyme du cimetière de Leerbeek en 1944
(après avoir été déterré par les “résistants” communistes et belgicains et promené
dans les bistrots de la région, pour être profané par les ivrognes “patriotes” ).
Les restes du chef nationaliste, mort de mort naturelle en 1942, sont transférés,
à la suite de l’action menée par Eriksson, dans le cimetière d’Asse,
pour qu’il puisse reposer enfin aux côtés de son épouse et retrouver ainsi une sépulture digne.
Le VMO est constamment poursuivi, souvent pour des futilités,
plus rarement pour des faits sérieux.
Bert Eriksson ne pouvait prévoir les provocations d’agents de la Sûreté belge.
Les procès se succèdent, jusqu’au grand procès du VMO en 1983,
au terme duquel le groupe nationaliste est condamné en tant que “milice privée”.
Eriksson écope d’une lourde peine : un an de prison ferme.
Quelques militants ont reçu des amendes astronomiques.
L’organisation dissoute, Bert Eriksson,
la reconstitue avec la création d’une nouvelle structure militante, le « Groupe Odal ».
Bert Eriksson poursuit son combat pour le mouvement nationaliste flamand,
notamment en soutenant activement le réseau révisioniste VHO,
mené par d’anciens responsables du VMO, et la « division flamande » de Blood and Honour
après sa rencontre avec Ian Stuart Donaldson suite au concert qu’il lui a organisé à Anvers
(Bert Eriksson lors d’une réunion de Blood and Honour pour l’anniversaire du Führer)
Il meurt à l’âge de 74 ans à Westdorpe
d’une maladie pulmonaire, le 20 octobre 2005.
Après la mort, de Bert Eriksson, le Vlaams Belang lui rendit un vibrant hommage
dans son organe de presse officiel (Vlaams Belang magazine de novembre 2005).
Il se termine ainsi :
«Bert Eriksson fut un homme qui ne laissait aucun commentateur indifférent:
il était d’un courage et d’une trempe exceptionnels.
Il est resté fidèle à la cause nationaliste flamande et à la construction
d’une Europe nouvelle.
Il exigeait beaucoup de ses hommes et acceptait pour lui-même les pires risques.
Il croyait dur comme fer à ses idéaux et les concrétisait de manière
romantique et exaltée.
Dans les années qui ont suivi la dissolution du VMO,
Eriksson a suivi une voie politique qui n’était pas celle du Vlaams Blok.
Cela ne nous empêche pas de reconnaître aujourd’hui qu’il fut un rude combattant,
inflexible, qui a toujours lutté pour ses idéaux. »
Source :
http://la-flamme.fr/category/non-classe/
Jean Bart- Administrateur
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