Amnesty International.
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Amnesty International.
On trouvera, en pièce jointe, la réponse d'Amnesty International
à la lettre que leur avait adressée l'un de nos correspondants
(voy. n/message du 18/04/2014 intitulé "Un correspondant interpelle Amnesty International ");
et, ci-après, la nouvelle réaction de notre correspondant (bravo à lui !):
< START>
24 mai 2014
Réf : Votre courrier du 20 mai 2014
" Chère Madame,
J'accuse réception de votre lettre du 20 mai 2014.
Vous ne "pouvez accepter que trois jeunes femmes soient condamnées à deux ans
de camp pour avoir chanté dans une église contre le pouvoir en place"
mais vous acceptez que des révisionnistes, âgés de 62 à 75 ans, soient condamnés
de 5 à 12 ans de prison pour avoir donné leur avis d'historien sur un sujet particulier
de la seconde guerre mondiale, que vous travestissez en "personnes connues
pour avoir des positions néo-nazies,négationnistes et antisémites",
et au sujet desquelles vous décrétez qu'elles "incitent dès lors à la haine et à la violence",
ce qui, sans apporter la moindre preuve, bien sûr, constitue un habile mensonge.
Vous dites "lutter pour la protection et la défense des droits de l'homme"
mais vous décrétez que les révisionnistes n'y ont pas droit.
Vous différenciez le "prisonnier d'opinion" du "prisonnier politique"
comme "une personne emprisonnée pour son origine ethnique, son sexe
ou son orientation sexuelle, sa couleur de peau, sa langue ou encore sa nationalité",
ce qui ne relève pas d'une opinion, autant que pour "ses convictions politiques
ou religieuses", là nous y sommes puisque les révsionnistes
ont justement des convictions politiques qui dérangent le Système Etabli.
Vous ajoutez que
"ces prisonniers et prisonnières d'opinion ont tous pour point commun la non-violence"
et qu'il est "nécessaire que les prisonniers dont nous soutenons les libertés soient pacifiques".
Les révisionnistes, n'ayant jamais recouru à la violence, contrairement à leurs adversaires,
relèvent aussi de cette catégorie "pacifiques et non-violents".
Pourtant vous n'avez même pas défendu "le respect de leur droit, un accès à un procès équitable et des conditions de détention respectueuses des droits humains"
en prétendant en outre qu'ils ont "de plus eu le droit à des procès équitables,
été jugés selon des lois qui prohibent le racisme et les discours de haine,
et communes à de nombreux pays démocratiques, dont notamment la France."
C'est d'une part ignorer que ces procès ont été contraires aux droits nationaux et internationaux,
mais qu'en outre, ces lois, comme la loi Fabius-Gayssot en FRANCE,
qui servent à les faire condamner, sont des lois bâillon dignes des procès staliniens.
Je pense tout simplement que vos arguments sont commodes pour justifier la lâcheté
de votre position sur ce sujet, ce qui ne devrait pas être l'apanage d'un prix Nobel "de la paix".
< END>
à la lettre que leur avait adressée l'un de nos correspondants
(voy. n/message du 18/04/2014 intitulé "Un correspondant interpelle Amnesty International ");
et, ci-après, la nouvelle réaction de notre correspondant (bravo à lui !):
< START>
24 mai 2014
Réf : Votre courrier du 20 mai 2014
" Chère Madame,
J'accuse réception de votre lettre du 20 mai 2014.
Vous ne "pouvez accepter que trois jeunes femmes soient condamnées à deux ans
de camp pour avoir chanté dans une église contre le pouvoir en place"
mais vous acceptez que des révisionnistes, âgés de 62 à 75 ans, soient condamnés
de 5 à 12 ans de prison pour avoir donné leur avis d'historien sur un sujet particulier
de la seconde guerre mondiale, que vous travestissez en "personnes connues
pour avoir des positions néo-nazies,négationnistes et antisémites",
et au sujet desquelles vous décrétez qu'elles "incitent dès lors à la haine et à la violence",
ce qui, sans apporter la moindre preuve, bien sûr, constitue un habile mensonge.
Vous dites "lutter pour la protection et la défense des droits de l'homme"
mais vous décrétez que les révisionnistes n'y ont pas droit.
Vous différenciez le "prisonnier d'opinion" du "prisonnier politique"
comme "une personne emprisonnée pour son origine ethnique, son sexe
ou son orientation sexuelle, sa couleur de peau, sa langue ou encore sa nationalité",
ce qui ne relève pas d'une opinion, autant que pour "ses convictions politiques
ou religieuses", là nous y sommes puisque les révsionnistes
ont justement des convictions politiques qui dérangent le Système Etabli.
Vous ajoutez que
"ces prisonniers et prisonnières d'opinion ont tous pour point commun la non-violence"
et qu'il est "nécessaire que les prisonniers dont nous soutenons les libertés soient pacifiques".
Les révisionnistes, n'ayant jamais recouru à la violence, contrairement à leurs adversaires,
relèvent aussi de cette catégorie "pacifiques et non-violents".
Pourtant vous n'avez même pas défendu "le respect de leur droit, un accès à un procès équitable et des conditions de détention respectueuses des droits humains"
en prétendant en outre qu'ils ont "de plus eu le droit à des procès équitables,
été jugés selon des lois qui prohibent le racisme et les discours de haine,
et communes à de nombreux pays démocratiques, dont notamment la France."
C'est d'une part ignorer que ces procès ont été contraires aux droits nationaux et internationaux,
mais qu'en outre, ces lois, comme la loi Fabius-Gayssot en FRANCE,
qui servent à les faire condamner, sont des lois bâillon dignes des procès staliniens.
Je pense tout simplement que vos arguments sont commodes pour justifier la lâcheté
de votre position sur ce sujet, ce qui ne devrait pas être l'apanage d'un prix Nobel "de la paix".
< END>
Jean Bart- Administrateur
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