le petit collegien

http://objectifbrevet.free.fr/corriges/cor_hist_cor13.htm

C'est la Shoahcratie.

l'option Zyklon B qui est choisi.

- Le bilan est lourd, 6 millions de juifs sont exterminés sur près de 9 millions vivant en Europe.

- Les juifs ne sont pas les seuls a avoir été victimes de ce système, les tziganes, les slaves parmi lesquels des Russes et des Polonais, des prisonniers de droits communs, des homosexuels,...

Les seuls à gazer sont les abrutis qui peuvent croire de telles enormités

Ils font au moins le petit plus de parler des tziganes et des prisonniers politiques.

Je me suis exercé à ce petit jeu (ce que j'aimerais voir un correcteur lire ça)


1. Qui est l'auteur de ce document ? De quel parti politique est-il le chef ? Quelle fonction a-t-il occupée au sein de l'Etat allemand ?

L'Auteur de ce document est monsieur Adolf Hitler, Chef/Führer du Parti National Socialiste des Travailleurs Allemands.
Au sein de l'Etat allemand, il a d'abord occupé la fonction de Chancelier (Reichskanzler) qui lui a été confiée en janvier 1933, avant de la cumuler ensuite avec celle de président du Reich sous le titre de Führer, après la mort du Generalfeldmarschall von Hindenburg en 1934.


2a. De quels peuples parle l'auteur de ce document ?

L'auteur parle du peuple aryen, qui contrairement à ce que prétend le document ne se limite pas à un "allemand de pure race blanche" mais est un concept qui s'étant jusqu'aux habitants de la Perse/Iran. Peuple aryen qu'il compare au peuple juif.


2b. Quelle place donne-t-il à chacun d'eux dans la société nazie ?

Il ne donne aucune place à chacun d'entre eux dans la société "nazie"... Dans ce texte, l'auteur établie une constatation d'ordre générale entre le génie créatif aryen et l'aspect parasitaire qui serait caractéristique du peuple juif, d'après l'auteur. Il ne dépeint ici aucun projet concret de gestion de ces deux peuples au sein de la société future qu'il espère bâtir.


3. Quel aspect de la doctrine nazie cet extrait illustre-t-il ?

Cet extrait est tiré d'une biographie politique doublée d'un recueil d'idée, qui ne s'est jamais prétendu être une oeuvre doctrinale. Il serait difficile de prétendre ici qu'il permet réellement d'illustrer un aspect de la doctrine politique de l'idéologie nationale socialiste.
Néanmoins, l'on peut tout de même dénoter qu'il nous permet de savoir que le chef du Parti National Socialiste avait une conception relativement racialiste du monde et des différents peuples humains, les jugeant chacun en fonction de leurs produits.


4. Donnez la nature du document.

Le document est un plan du camp de travail d'Auschwitz II Birkenau


5. Quel est le lien entre la construction d'un tel camp et l'idéologie nazie exprimée dans le document 1 ? Justifiez votre réponse en citant au moins deux éléments de la légende.

La question est relativement sournoise et peu digne d'une historien. Quel lien peut ont honnêtement établir entre un court extrait issu d'un livre écrit en 1924 et le plan d'un concept industrialo-carcéral bâti dans les années 1940 ?
Mais puisqu'il faut bien répondre quelque chose, disons qu'on pourrait trouver un lien entre le racialisme de monsieur Adolf Hitler et les politiques de déportation de peuples non-européen vers l'Est à partir de l'année 1941. Le camp d'Auschwitz ayant été le principal camp de transit pour le juifs avant leur redéplacement plus loin vers l'Est (notamment vers les camps des pays Baltes)
Je suis au regret de ne pouvoir citer grand chose de la légende, tout ce que m'inquique le plan, c'est la place de la Kommandantur et la ligne de chemin de fer... On peut aussi voir les imposant krematorium destinés à brûler les corps des victimes de maladies, mais ce n'est qu'un détail.


Doc. 3

6. Quel est le pays où l'élimination des Juifs a été la plus massive ?

D'après ce document dont l'objectivité mériterais d'être remise en cause, le pays où l'élimination des Juifs a été la plus massive serait la Pologne, avec prétendument prêt de 93% de sa population juive d'avant 1939 "exterminé". Il serait intéressant de voir si ce document prend en compte les pertes dues à la guerre, les innombrables familles qui sont restées sur place et toutes celles qui ont immigrées en Israel... Qui a réalisé ces sondages ?



A l'aide des documents et de vos connaissances, rédigez un paragraphe argumenté d'une vingtaine de lignes sur le génocide juif pendant la Seconde Guerre mondiale, dans lequel vous présenterez :
- les raisons pour lesquelles les nazies ont persécuté les Juifs;
- les différents moyens mis en oeuvre pour aboutir à la "Solution finale";
- le bilan des pertes humaines juives;
- les autres victimes du nazisme et du génocide.

En 1941, le lancement de Barbarossa et l'immense gain en territoire que l'attaque de l'Union Soviétique procure au Reich Allemand donne des idées aux dirigeants de la SS pour la résolution de la question juive en Europe. Les solutions de repeuplement en Palestine et à Madagascar s'avérant désormais impossibles, il est décidé que les juifs d’Europe, majoritairement d'origine ashkénaze, seront renvoyés vers leur pays d'origine après la victoire contre les armées de Staline. Ce pays est le pays Khazar situé plus au nord du Caucase.

La raison de cette volonté de déportation vient du fait que le juif est considéré par les nationaux socialiste comme un élément non-européen et non assimilable, qui a tendance à s'infiltrer dans les maillons des sociétés et à manipuler chacun par le biais des leviers financiers et politiques pour son propre intérêt communautaire. Les Nationaux Socialistes estiment que c'en est assez et décident d'agir de manière radicale, en s'attaquant au problème à la source. Une fois dans un pays qui leur sera propre, ils estiment que les juifs ne seront plus un danger.

Une déportation Massive vers l'Est est donc organisée par les services internes de la SS. On compte beaucoup sur la collaboration de la Reichsbahn ainsi que sur celle des polices et compagnies de chemins de fers dans les pays amis du Reich. Pour rentabiliser la chose, les divers camps d'internement font double emploi en faisant aussi office de camps de travail, dans lesquels les industries peuvent produire sans payer la main d'oeuvre. Le tribut des juifs en quelque sorte pour rembourser le coût de leur déplacement.

Cependant, ces camps n'accueillent pas uniquement des juifs. D'autres populations "à déporter" y sont également envoyés, à savoir les divers peuples tziganes.
On y envoyait également des droits communs, des terroristes, des dissidents politiques et autres criminels comme les pédophiles (trop souvent confondus, à tord, avec de simples homosexuels) mais pas cependant pour les déporter, ils étaient là uniquement pour purger leur peine et être rééduqués par le travail.

Le Bilan, alourdi vers la fin de la guerre par l'intensité des bombardements anglo-américaind, générant ainsi d'incroyables pénuries dans l'approvisionnement de nourriture et médicament, reste encore aujourd'hui à être totalement réévalué.
Le chiffre légendaire habituellement retenu par la religion shoahtique est celui de six millions de victimes juives. Mais ce chiffre est une hyperbole cabalistique qui n'a aucun lien avec la réalité, les chiffres des seules pertes juives le plus vraisemblables ne dépassent pas la barre des un millions de victimes.



J'ai peut être un peut trop fait mon "B14" sur certains commentaires manquant un peu d'objectivité...

Vous me donnez quelle note ?

Oulah...0/20 retouner à la case départ ne toucher pas votre brevet...

Le cours sur la décolonisation est pas mal aussi.

Les puissances coloniales ont subi de plein fouet les conséquences de la Seconde guerre mondiale. Les pays coloniaux ne sont plus infaillibles. Les japonais ont montré la fin de la légende de la supériorité des blancs.

Colonie française depuis le 19è siècle, l'Algérie va être secoué par les violences indépendantistes. Le 1er Novembre 1954, le Front de Libération Nationale passe à la rébellion contre les autorités françaises. Le conflit s'étend jusqu'en 1962.

L'émancipation de l'Afrique Noire est plus tardive. L'indépendance des colonies anglaises et françaises se déroulent dans le calme. Les colonies françaises connaissent une indépendance progressive entre 1956 et 1960. Belges et portugais ont plus de mal, les Belges ne peuvent éviter des explosions de violences, alors que les portugais ne donneront leur indépendance à l'Angola et au Mozambique qu'en 1975.

c'est toute l'histoire enseigné qui est de la merde, ils diraient rien du tout que ça serait mieux

Non mais forcément on parle du collège et du lycée à part les maths il y a rien d'objectif, déjà la physique c'est limite....

Merl1 a écrit:Oulah...0/20 retouner à la case départ ne toucher pas votre brevet...

D'un pur point de vu de prof avec sa grille de notation stricte ça ne vaux pas un zero. Mais il pourrait me saquer sur certaines questions et bien sûr le fameux "paragraphe argumenté".
Que j'aimerais voir un prof lambda confronté à ce genre de copie

les profs venaient me voir "bon euh c'est bien, mais il faut pas dire ça, va plutot t'encarter "

Au collège je gobais tout ce qu'on me disait en Histoire, sur tout les sujets, même si je n'ai jamais été franchement "hostile" au nazisme (pour moi c'était "pas bien" mais sans plus).
Je me rappelle juste que je ne comprenais pas à l'époque l'antijudaïsme puisqu'on m'avait apprit que les juifs étaient "comme nous", et en plus gentils, généreux, sympas, etc... (pas comme les arabes et les noirs, qu'il fallait tolérer surtout parce que le racisme c'est maaal, c'est le ressentit que j'avais.)

Au lycée je faisais juste un peu chier sur l'URSS puisque j'étais devenu Brejnevien (pas encore Stal, je le trouvais trop meuchant et sanguinaire oncle Jo') Mais c'était parfaitement tolérable pour ma prof vieille gaulliste de gauche

C'est à la fac que j'ai découvert d'abord les remises en cause staliniennes sur le communisme "révisionniste" (comme ils disent), puis Faurisson et que j'ai commencé à douter et à remettre en cause tout ce que j'avais pu apprendre jusque là.

la toute premiere fois qu'on m'a parlé d'hitler (au college, donc je pouvais pas avoir de prejugés), c'est parti en couilles direct :
"madame, mais pourquoi ils l'ont mis en prison le monsieur?" (ref au putsch)
"mais c'est un danger pour la democratie!"
- "oui mais en quoi c'est un danger, madame?"
- "... faut toujours que tu fasse chier à mon cours hein?"

j'ai compris que au lycée pourquoi mon pere ne voulait pas que je dessine des croix gammée dans les marges de mes cahiers etant en primaire


mes sujets ou j'emmerdaient le monde portaient plutot sur l'antiquité à ce moment là, la diabolisation debile des peuples du nord et l'encensement de ceux du sud, en omettant de preciser qu'ils etaient à cette epoque tout aussi blanc que les nordiques ...

sur les juifs je les imaginais moitié comme des gitans en plus degeulasses, moitié comme dans rabbi jacob, donc en fait qu'on me dise qu'ils etaient exterminés par fournées de 6 millions, ça m'a jamais fait ni chaud ni froid, j'etais meme pas contre les juifs, je m'en foutais completement tout en ne remettant pas en cause le dogme shoatique.

sur les arabes j'avais pas d'a priori, j'avais des amis arabes en primaire et au college, c'est seulement au lycée que c'est parti en couille dessus quand ils se mettent en bande et font leurs histoires ...
et les noirs alors là, en primaire y avait qu'un seul noir, je l'appelais "chocolat" et en avait fait un genre d'esclave personnel soumis à mon autorité, en plus de lui racketter ses bonbons, il etait même pas africain mais bresilien je crois, aux dernieres nouvelles il a mal fini.
et j'explosais d'hilarité quand on me montrait les fameuses images du tiers monde, genre le gosse à moitié crevé avec toute les mouches et la notice "dans le nord ils sont riches, dans le sud ils sont pauvres, il y a des inegalités!", et je geulais "t'as vu, chocolat ? ils sont pauvre dans ta famille !" (j'etais un peu comme cartman)

l'urss je croit qu'on a jamais avancé suffisament dans le programme pour l'aborder

Moi au collège j'étais comme Doktor, je gobais tout. J'me souviens par contre que j'avais été fasciné par l'URSS et le socialisme, surtout quand la prof nous avait parlé presque émerveiller de Alexei Stakhanov, l'ouvrier modèle abattant plus de tonnes de charbons que l'ensemble du combinant minier ! J'trouvais ça classe de voir des mecs bosser juste pour leur prochain et pas pour s'en foutre plein les fouilles.
C'est qu'à partir du lycée que j'ai commencé à vraiment foutre la merde, en Histoire, en Français, en Allemand... partout en fait, dès qu'il y avait une brèche ou un truc à pas dire, moi j'y allais : Résultat, on passait le reste de l'heure à débattre et à ne pas faire cours.

J'suis passé de stal à gauchiste humaniste, puis de nihiliste primitivisme à anarchiste, puis d'anarchiste à marxiste-leniniste. J'en ai fais un sacré parcours, mais je regrette pas d'avoir pu glisser des quenelles quand il le fallait.

moi j'ai fait republicain celtique (sauce IRA, et je crois d'ailleur que j'ai jamais renié cette partie là) --> lepeniste (c'etait le grand mechant loup donc par anticonformisme, et de par son charisme pour un ado)--> liberal (oui j'avoue, j'ai été trompé grave) --> anarchiste ( en devenant coherent dans mon "liberalisme") --> nazbolisant sans le savoir (en devenant coherant dans mon "anarchisme") --> NS comme finalisation, et je garde le cap depuis.
Y a quand même en commun que j'ai jamais pu saquer le systeme, une forme de patriotisme et un idealisme.

Vaut mieux pas que je parle de mon "parcours" ... Au lycée j'ai eus des années d'égarement...

allez dites nous tout, anarchie, communisme, fascisme ? vous pourrez pas être pire que royaliste

Moi je me suis pas intéressé à la politique avant le lycée ou j'ai commencé à m'intéressé à l'anarchisme et au communisme. Y' a pas eu de changement spectaculaire depuis, si ce n'est mon vécu, mes discussions et mes lectures qui ont beaucoup affiné et musclé mes idées. Avant j'était quand même qu'un petit con qui écoutait du punk !

et alors ? c'est bien aussi le punk

Ah mais j'en écoute toujours, je découvre des nouveaux trucs régulièrement, je fait même partie d'une orga qui fait des concerts.

Louis Roberte nicolas a écrit:moi j'ai fait republicain celtique (sauce IRA, et je crois d'ailleur que j'ai jamais renié cette partie là)

Ouais, mais le républicanisme Irlandais est socialiste de toute manière. Donc je n'ai pas de véritable soucis à soutenir l'IRA.

un nationalisme socialiste, ça te gène pas ? c'est pas censé être pire que "nationaliste" tout court ?

Louis Roberte nicolas a écrit:un nationalisme socialiste, ça te gène pas ? c'est pas censé être pire que "nationaliste" tout court ?

C'est vachement plus compliqué que çà l'IRA non ? Entre le début du XXe et aujourd'hui et les différentes branches...
C'est presque comme si tu disais que l'UDB est "l'Adsav" c'était la même chose (je pousse un peu...).

vous avez pas capté la trame commune qu'il y a, c'est que justement le but c'est d'aller toujours plus loin pour la souveraineté totale nationale et sociale
A un moment certains se disent que le but est accomplis, on va en rester là, d'autres qu'il faut aller plus loin et y a scission et continuation sur des enjeux a priori différents en repartant sur une autre forme.
Donc la seule IRA c'est celle qui est la plus vindicative et active.
En Breizh j'aurais tendance à dire que sur le fond des idées, c'est Adsav, mais sur le terrain, c'est deja moins ça. Enfin pour moi le clivage c'est Padrig Montauzier.

Ca reste une trame non... Quand je parle d'"IRA" j'entend aussi les branches politiques. Soi ils jouent la "takia" ou alors tous les nationalistes irlandais n'étaient pas sur la ligne que vous soutenez...