Einstein le plagiaire
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Einstein le plagiaire
Einstein le plagiaire
Le 5 août 2004 , le Nouvel Observateur publiait un article de Fabien Gruhier
qui donnait quelques précisions sur la découverte de la relativité et les travaux d’Albert Einstein :
“Selon le physicien Jean Hladik , peut-on lire, le génial inventeur de la théorie
de la relativité aurait pillé sans vergogne les découvertes d’Henri Poincaré …
Depuis la lointaine époque de ses études, Jean Hladik, universitaire, spécialiste de physique théorique, auteur de plusieurs ouvrages sur la relativité, trouvait que quelque chose clochait
dans la façon dont la relativité était enseignée.
Et sa paternité un peu trop unanimement attribuée au fameux Albert Einstein.
Lui-même, il y quatre ans, signait encore un ouvrage intitulé La Relativité selon Einstein,
mais il s’y efforçait déjà de rendre à Poincaré ce qui est à Poincaré.
Depuis, Hladik a poursuivit ses investigations, et il se décide à publier un livre carrément sacrilège dont le titre n’est rien moins que :
“Comment le jeune et ambitieux Einstein s’est approprié la relativité restreinte de Poincaré”.
Au contraire de la plupart des spécialistes, Jean Hladik est allé aux sources.
Il a lu les publications “totalement ignorées” d’Henri Poincaré, physicien génial
et mathématicien “bien meilleur qu’Einstein” et y a trouvé noir sur blanc tous
les éléments de la relativité d’espace-temps”.
En passant par le ralentissement des horloges en mouvement, la contraction des corps
dans le sens de leur déplacement et l’impossibilité de définir de façon absolue la simultanéité
de deux événements distants.
Ainsi, tout y est, sous la signature de Poincaré, dans des textes publiés entre 1898
et le 5 juin 1905.
Or, le 30 juin 1905, les “Annalen der Physik” recevaient le manuscrit du fameux article
fondateur de la relativité restreinte, signé Einstein. Un article qui, selon Hladik,
n’apporte “rien de nouveau” par rapport aux écrits de Poincaré, et dans lequel
l’auteur s’abstient de fournir la moindre référence aux travaux de ce dernier.
Dès lors, la question se pose :
Einstein a-t-il tout redécouvert tout seul ?
Ou bien a-t-il sciemment et honteusement pillé Poincaré ?
Pour Jean Hladik, après enquête minutieuse, le doute n’est plus permis, et seule la seconde hypothèse tient la route.
Car non seulement Einstein lisait parfaitement le français, mais de plus,
à l’époque des faits, il tenait, justement, dans les “Annalen der Physik”, une rubrique
consistant à faire le compte-rendu des articles parus dans certaines revues scientifiques étrangères, dont,
comme par hasard, les “Comptes-rendus de l’Académie des Sciences de Paris”,
où était paru le 5 juin 1905 l’article le plus abouti de Poincaré sur le sujet.
Le grand Albert ne pouvait donc pas ne pas en avoir pris connaissance.
Or, à l’époque, raconte Hladik, Einstein était en pleine galère.
Il avait obtenu avec peine un diplôme de professeur de lycée, s’était vu à trois reprises
refuser sa thèse de doctorat, et cherchait à se faire remarquer
“en exploitant les idées des autres”.
En l’occurrence, il a magnifiquement réussi son coup, et Hladik résume à sa façon :
“Le chat Poincaré, à la patte délicate, a tiré les marrons du feu relativiste au profit
du singe Einstein qui, sans vergogne, les croqua, illustrant ainsi la célèbre fable
de Jean de la Fontaine.”
Puis, la “chape de plomb de l’histoire” s’est mise en place, et il a fallu presque
un siècle pour qu’elle se fissure.
Ce à quoi François de Closets,que cite Hladik, s’était déjà attelé dans sa récente biographie d’Einstein en constatant :
“Poincaré tenait en main toutes les pièces du puzzle.”
D’où l’occultation absolue et tenace de Poincaré, auquel Einstein ne rendra un laconique hommage qu’en 1955, deux mois avant de mourir.”
Le 5 août 2004 , le Nouvel Observateur publiait un article de Fabien Gruhier
qui donnait quelques précisions sur la découverte de la relativité et les travaux d’Albert Einstein :
“Selon le physicien Jean Hladik , peut-on lire, le génial inventeur de la théorie
de la relativité aurait pillé sans vergogne les découvertes d’Henri Poincaré …
Depuis la lointaine époque de ses études, Jean Hladik, universitaire, spécialiste de physique théorique, auteur de plusieurs ouvrages sur la relativité, trouvait que quelque chose clochait
dans la façon dont la relativité était enseignée.
Et sa paternité un peu trop unanimement attribuée au fameux Albert Einstein.
Lui-même, il y quatre ans, signait encore un ouvrage intitulé La Relativité selon Einstein,
mais il s’y efforçait déjà de rendre à Poincaré ce qui est à Poincaré.
Depuis, Hladik a poursuivit ses investigations, et il se décide à publier un livre carrément sacrilège dont le titre n’est rien moins que :
“Comment le jeune et ambitieux Einstein s’est approprié la relativité restreinte de Poincaré”.
Au contraire de la plupart des spécialistes, Jean Hladik est allé aux sources.
Il a lu les publications “totalement ignorées” d’Henri Poincaré, physicien génial
et mathématicien “bien meilleur qu’Einstein” et y a trouvé noir sur blanc tous
les éléments de la relativité d’espace-temps”.
En passant par le ralentissement des horloges en mouvement, la contraction des corps
dans le sens de leur déplacement et l’impossibilité de définir de façon absolue la simultanéité
de deux événements distants.
Ainsi, tout y est, sous la signature de Poincaré, dans des textes publiés entre 1898
et le 5 juin 1905.
Or, le 30 juin 1905, les “Annalen der Physik” recevaient le manuscrit du fameux article
fondateur de la relativité restreinte, signé Einstein. Un article qui, selon Hladik,
n’apporte “rien de nouveau” par rapport aux écrits de Poincaré, et dans lequel
l’auteur s’abstient de fournir la moindre référence aux travaux de ce dernier.
Dès lors, la question se pose :
Einstein a-t-il tout redécouvert tout seul ?
Ou bien a-t-il sciemment et honteusement pillé Poincaré ?
Pour Jean Hladik, après enquête minutieuse, le doute n’est plus permis, et seule la seconde hypothèse tient la route.
Car non seulement Einstein lisait parfaitement le français, mais de plus,
à l’époque des faits, il tenait, justement, dans les “Annalen der Physik”, une rubrique
consistant à faire le compte-rendu des articles parus dans certaines revues scientifiques étrangères, dont,
comme par hasard, les “Comptes-rendus de l’Académie des Sciences de Paris”,
où était paru le 5 juin 1905 l’article le plus abouti de Poincaré sur le sujet.
Le grand Albert ne pouvait donc pas ne pas en avoir pris connaissance.
Or, à l’époque, raconte Hladik, Einstein était en pleine galère.
Il avait obtenu avec peine un diplôme de professeur de lycée, s’était vu à trois reprises
refuser sa thèse de doctorat, et cherchait à se faire remarquer
“en exploitant les idées des autres”.
En l’occurrence, il a magnifiquement réussi son coup, et Hladik résume à sa façon :
“Le chat Poincaré, à la patte délicate, a tiré les marrons du feu relativiste au profit
du singe Einstein qui, sans vergogne, les croqua, illustrant ainsi la célèbre fable
de Jean de la Fontaine.”
Puis, la “chape de plomb de l’histoire” s’est mise en place, et il a fallu presque
un siècle pour qu’elle se fissure.
Ce à quoi François de Closets,que cite Hladik, s’était déjà attelé dans sa récente biographie d’Einstein en constatant :
“Poincaré tenait en main toutes les pièces du puzzle.”
D’où l’occultation absolue et tenace de Poincaré, auquel Einstein ne rendra un laconique hommage qu’en 1955, deux mois avant de mourir.”
Jean Bart- Administrateur
- Messages : 4868
Date d'inscription : 12/08/2013
Age : 79
Localisation : Braunau/Inn (Autriche)
Re: Einstein le plagiaire
La différence entre "Poincarré" et "Einstein" ? Devinez !
Crocodil Dundee- Chef
- Messages : 1567
Date d'inscription : 24/09/2013
Age : 83
Localisation : Avignon
Re: Einstein le plagiaire
Crocodil Dundee a écrit:La différence entre "Poincarré" et "Einstein" ? Devinez !
C'était pas un zélu ?
Invité- Invité
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