Le drapeau russe hissé sur le Parlement de Crimée en Ukraine
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Le drapeau russe hissé sur le Parlement de Crimée en Ukraine
http://www.lemonde.fr/europe/article/2014/02/27/le-parlement-de-crimee-occupe-par-des-hommes-armes_4374083_3214.html
Le drapeau russe hissé sur le Parlement de Crimée en Ukraine
Le Monde.fr avec AFP, AP et Reuters | 27.02.2014 à 07h56 • Mis à jour le 27.02.2014 à 11h39 | Par Louis Imbert (Simferopol, envoyé spécial)
Un groupe d'activistes prorusses occupait, jeudi 27 février au matin, le Parlement régional de Crimée. Les protestataires ont levé un drapeau russe sur le toit du bâtiment. La veille, une manifestation violente avait opposé, dans la cour, des Russes et des membres de la minorité tatare.
Le ministre de l'intérieur par intérim ukrainien, Arsen Avakov, a annoncé sur Facebook que « des mesures ont été prises pour empêcher des actes extrémistes et empêcher que la situation ne s'aggrave en une confrontation armée dans le centre de la ville. » La police a établi un cordon de sécurité aux abords du bâtiment et bloquait la circulation sur les avenues alentours.
La réponse des autorités, jeudi matin, est sans commune mesure avec celle donnée à la foule de Sébastopol, lundi 24 février, qui avait fait élire un entrepreneur russe à la tête de la mairie en assiégeant le conseil municipal, en l'absence de policiers autour du bâtiment.
MOUVEMENT SPONTANÉ ?
Le mouvement de Simferopol, capitale de la région autonome, peuplée à 60 % de Russes, paraît être né spontanément. Sergueï Axionov, leader du parti Unité russe, organisateur des manifestations, déclarait ignorer qui étaient les occupants et se désolidarisait de leur action. Son parti recrute également depuis dimanche des milices de volontaires.
Dans la nuit, quelques dizaines d'activistes avaient empilé des caisses de bois et des palissades en métal entre les piliers de béton qui encerclent la cour en forme de polygone du Parlement local. Ils s'affairaient sous l'œil goguenard de policiers chargés de la sécurité du bâtiment.
Dasha Kalashnikova, cantinière en pleurs établie dans la cour, qui distribuait le thé aux constructeurs, assurait « nous sommes de simples citoyens. Nous voulons seulement l'autonomie ». Quelques volontaires apportaient de la nourriture pour son étal et stockaient des médicaments dans un recoin de la cour.
Les députés régionaux n'ont toujours pas reconnu l'autorité de la capitale et ont violemment dénoncé les manifestations de Kiev et de l'Ouest depuis novembre. Evoquant tous un coup d'Etat, ils ont demandé le soutien de la Russie pour garantir la sécurité de la région.
Lundi matin, dans la petite foule qui commençait à s'agglutiner autour du cordon de sécurité, Nadejda Ouvanova, retraitée russe présente aux manifestations de mercredi « contre les nationalistes ukrainiens de Kiev », évoquait l'occupation de Maïdan dans la capitale et celle des bâtiments municipaux de Lviv, à l'Est. « Si leurs occupations sont légales, pourquoi pas les nôtres ? », demandait-elle.
LES TATARS INQUIETS
Mercredi 26 février, des heurts avaient opposé plusieurs milliers de manifestants russes et tatars devant le Parlement, avant l'ouverture de sa première session depuis la chute du gouvernement de Kiev. Les tatars, minorité qui représente environ 12 % de la population, craignaient que le Parlement ne profite de la confusion à la tête de l'Etat pour convoquer un référendum proposant le rattachement de la Crimée à la Russie.
On criait d'un côté « Vive l'Ukraine, vive les héros ! », les morts de Maïdan et de l'autre « Russie ! », « Berkouts » (les forces anti-émeutes du régime démantelées par le nouveau pouvoir après la répression de Kiev). Un homme d'une cinquantaine d'années est mort dans la bousculade, avant que les tatars ne battent en retraite, rassurés par l'annulation de la session parlementaire, où seul un député sur deux était présent.
La semaine dernière, le président du Parlement régional, Vladimir Konstantinov, en voyage à Moscou, avait déclaré à l'agence Interfax l'écroulement du pouvoir à Kiev pour engager la sécession. Par ailleurs, des émissaires russes, nombreux en Crimée jusqu'à la chute du gouvernement, sont réapparus dans les rues de Simferopol. Mardi, un membre de la Douma, Leonid Slutsky habitué de la région, membre du comité sur l'union douanière avec les voisins de l'ex-empire soviétique, a rencontré des représentants de mouvements prorusses et quelques députés locaux.
Lire aussi : Six questions sur l'après-Ianoukovitch en Ukraine
Le drapeau russe hissé sur le Parlement de Crimée en Ukraine
Le Monde.fr avec AFP, AP et Reuters | 27.02.2014 à 07h56 • Mis à jour le 27.02.2014 à 11h39 | Par Louis Imbert (Simferopol, envoyé spécial)
Un groupe d'activistes prorusses occupait, jeudi 27 février au matin, le Parlement régional de Crimée. Les protestataires ont levé un drapeau russe sur le toit du bâtiment. La veille, une manifestation violente avait opposé, dans la cour, des Russes et des membres de la minorité tatare.
Le ministre de l'intérieur par intérim ukrainien, Arsen Avakov, a annoncé sur Facebook que « des mesures ont été prises pour empêcher des actes extrémistes et empêcher que la situation ne s'aggrave en une confrontation armée dans le centre de la ville. » La police a établi un cordon de sécurité aux abords du bâtiment et bloquait la circulation sur les avenues alentours.
La réponse des autorités, jeudi matin, est sans commune mesure avec celle donnée à la foule de Sébastopol, lundi 24 février, qui avait fait élire un entrepreneur russe à la tête de la mairie en assiégeant le conseil municipal, en l'absence de policiers autour du bâtiment.
MOUVEMENT SPONTANÉ ?
Le mouvement de Simferopol, capitale de la région autonome, peuplée à 60 % de Russes, paraît être né spontanément. Sergueï Axionov, leader du parti Unité russe, organisateur des manifestations, déclarait ignorer qui étaient les occupants et se désolidarisait de leur action. Son parti recrute également depuis dimanche des milices de volontaires.
Dans la nuit, quelques dizaines d'activistes avaient empilé des caisses de bois et des palissades en métal entre les piliers de béton qui encerclent la cour en forme de polygone du Parlement local. Ils s'affairaient sous l'œil goguenard de policiers chargés de la sécurité du bâtiment.
Dasha Kalashnikova, cantinière en pleurs établie dans la cour, qui distribuait le thé aux constructeurs, assurait « nous sommes de simples citoyens. Nous voulons seulement l'autonomie ». Quelques volontaires apportaient de la nourriture pour son étal et stockaient des médicaments dans un recoin de la cour.
Les députés régionaux n'ont toujours pas reconnu l'autorité de la capitale et ont violemment dénoncé les manifestations de Kiev et de l'Ouest depuis novembre. Evoquant tous un coup d'Etat, ils ont demandé le soutien de la Russie pour garantir la sécurité de la région.
Lundi matin, dans la petite foule qui commençait à s'agglutiner autour du cordon de sécurité, Nadejda Ouvanova, retraitée russe présente aux manifestations de mercredi « contre les nationalistes ukrainiens de Kiev », évoquait l'occupation de Maïdan dans la capitale et celle des bâtiments municipaux de Lviv, à l'Est. « Si leurs occupations sont légales, pourquoi pas les nôtres ? », demandait-elle.
LES TATARS INQUIETS
Mercredi 26 février, des heurts avaient opposé plusieurs milliers de manifestants russes et tatars devant le Parlement, avant l'ouverture de sa première session depuis la chute du gouvernement de Kiev. Les tatars, minorité qui représente environ 12 % de la population, craignaient que le Parlement ne profite de la confusion à la tête de l'Etat pour convoquer un référendum proposant le rattachement de la Crimée à la Russie.
On criait d'un côté « Vive l'Ukraine, vive les héros ! », les morts de Maïdan et de l'autre « Russie ! », « Berkouts » (les forces anti-émeutes du régime démantelées par le nouveau pouvoir après la répression de Kiev). Un homme d'une cinquantaine d'années est mort dans la bousculade, avant que les tatars ne battent en retraite, rassurés par l'annulation de la session parlementaire, où seul un député sur deux était présent.
La semaine dernière, le président du Parlement régional, Vladimir Konstantinov, en voyage à Moscou, avait déclaré à l'agence Interfax l'écroulement du pouvoir à Kiev pour engager la sécession. Par ailleurs, des émissaires russes, nombreux en Crimée jusqu'à la chute du gouvernement, sont réapparus dans les rues de Simferopol. Mardi, un membre de la Douma, Leonid Slutsky habitué de la région, membre du comité sur l'union douanière avec les voisins de l'ex-empire soviétique, a rencontré des représentants de mouvements prorusses et quelques députés locaux.
Lire aussi : Six questions sur l'après-Ianoukovitch en Ukraine
Invité- Invité
Re: Le drapeau russe hissé sur le Parlement de Crimée en Ukraine
Le drapeau soviétique ce serait quand même mieux...
L'Augure- Connaisseur
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Poutine demande au Parlement d'approuver "le recours à l'armée russe en Ukraine"
http://www.rtl.fr/actualites/info/international/article/poutine-demande-au-parlement-d-approuver-le-recours-a-l-armee-russe-en-ukraine-7770109774
Poutine demande au Parlement d'approuver "le recours à l'armée russe en Ukraine"
international
Vladimir Poutine, président de la Fédération de Russie, le 26 février 2014 dans sa résidence de Novo-Ogaryovo
Crédit : AFP / MIKHAIL METZEL
Vladimir Poutine a demandé samedi à la chambre haute du Parlement russe d'approuver "le recours à l'armée russe en Ukraine".
Le président russe Vladimir Poutine a demandé samedi 1er mars au Conseil de la Fédération (chambre haute du Parlement) d'approuver "le recours à l'armée russe en Ukraine". "En raison de la situation extraordinaire en Ukraine et de la menace pesant sur la vie des citoyens russes, de nos compatriotes, des forces armées russes déployées en Ukraine", Vladimir Poutine a demandé au Conseil de la Fédération d'autoriser "le recours aux forces armées russes sur le territoire de l'Ukraine, jusqu'à la normalisation de la situation politique dans ce pays", selon un communiqué du service de presse du Kremlin.
La Russie dispose d'une force armée non négligeable en Crimée (sud de l'Ukraine): la Flotte russe de la mer Noire, qui compte quelque 20.000 hommes, est basée à Sébastopol, aux termes d'un accord entre Moscou et Kiev. Les autorités ukrainiennes ont accusé la Russie d'avoir déjà déployé des milliers d'hommes supplémentaires dans la péninsule pro-russe de Crimée, depuis plusieurs jours en proie à de vives tensions séparatistes.
Des sites stratégiques sous le contrôle d'hommes armés
"La Russie a accru (le nombre de) ses troupes de 6.000 hommes" en Crimée, a affirmé samedi le ministre de la Défense Igor Tenioukh. Près de 30 blindés ont aussi été déployés, a-t-il ajouté, dénonçant une "violation grossière" des accords régulant la présence de la flotte russe de la mer Noire en Crimée.
Plusieurs sites stratégiques de Crimée sont désormais sous le contrôle d'hommes armés et en uniformes, manifestement pro-russes, mais sans signe permettant de les identifier. Ils contrôlent les aéroports de Simféropol, de Sébastopol, de Kirovske, ainsi que le centre-ville de Simféropol, et ont hissé le drapeau russe sur plusieurs bâtiments officiels.
Poutine demande au Parlement d'approuver "le recours à l'armée russe en Ukraine"
Par La rédaction de RTL.fr , Avec AFP | Publié le 01/03/2014 à 15h07 | Mis à jour le 01/03/2014 à 15h17
Poutine demande au Parlement d'approuver "le recours à l'armée russe en Ukraine"
Par La rédaction de RTL.fr , Avec AFP | Publié le 01/03/2014 à 15h07 | Mis à jour le 01/03/2014 à 15h17
international
Vladimir Poutine, président de la Fédération de Russie, le 26 février 2014 dans sa résidence de Novo-Ogaryovo
Crédit : AFP / MIKHAIL METZEL
Vladimir Poutine a demandé samedi à la chambre haute du Parlement russe d'approuver "le recours à l'armée russe en Ukraine".Le président russe Vladimir Poutine a demandé samedi 1er mars au Conseil de la Fédération (chambre haute du Parlement) d'approuver "le recours à l'armée russe en Ukraine". "En raison de la situation extraordinaire en Ukraine et de la menace pesant sur la vie des citoyens russes, de nos compatriotes, des forces armées russes déployées en Ukraine", Vladimir Poutine a demandé au Conseil de la Fédération d'autoriser "le recours aux forces armées russes sur le territoire de l'Ukraine, jusqu'à la normalisation de la situation politique dans ce pays", selon un communiqué du service de presse du Kremlin.
La Russie dispose d'une force armée non négligeable en Crimée (sud de l'Ukraine): la Flotte russe de la mer Noire, qui compte quelque 20.000 hommes, est basée à Sébastopol, aux termes d'un accord entre Moscou et Kiev. Les autorités ukrainiennes ont accusé la Russie d'avoir déjà déployé des milliers d'hommes supplémentaires dans la péninsule pro-russe de Crimée, depuis plusieurs jours en proie à de vives tensions séparatistes.
Des sites stratégiques sous le contrôle d'hommes armés
"La Russie a accru (le nombre de) ses troupes de 6.000 hommes" en Crimée, a affirmé samedi le ministre de la Défense Igor Tenioukh. Près de 30 blindés ont aussi été déployés, a-t-il ajouté, dénonçant une "violation grossière" des accords régulant la présence de la flotte russe de la mer Noire en Crimée.
Plusieurs sites stratégiques de Crimée sont désormais sous le contrôle d'hommes armés et en uniformes, manifestement pro-russes, mais sans signe permettant de les identifier. Ils contrôlent les aéroports de Simféropol, de Sébastopol, de Kirovske, ainsi que le centre-ville de Simféropol, et ont hissé le drapeau russe sur plusieurs bâtiments officiels.
Poutine demande au Parlement d'approuver "le recours à l'armée russe en Ukraine"
international
Vladimir Poutine, président de la Fédération de Russie, le 26 février 2014 dans sa résidence de Novo-Ogaryovo
Crédit : AFP / MIKHAIL METZEL
Vladimir Poutine a demandé samedi à la chambre haute du Parlement russe d'approuver "le recours à l'armée russe en Ukraine".
Le président russe Vladimir Poutine a demandé samedi 1er mars au Conseil de la Fédération (chambre haute du Parlement) d'approuver "le recours à l'armée russe en Ukraine". "En raison de la situation extraordinaire en Ukraine et de la menace pesant sur la vie des citoyens russes, de nos compatriotes, des forces armées russes déployées en Ukraine", Vladimir Poutine a demandé au Conseil de la Fédération d'autoriser "le recours aux forces armées russes sur le territoire de l'Ukraine, jusqu'à la normalisation de la situation politique dans ce pays", selon un communiqué du service de presse du Kremlin.
La Russie dispose d'une force armée non négligeable en Crimée (sud de l'Ukraine): la Flotte russe de la mer Noire, qui compte quelque 20.000 hommes, est basée à Sébastopol, aux termes d'un accord entre Moscou et Kiev. Les autorités ukrainiennes ont accusé la Russie d'avoir déjà déployé des milliers d'hommes supplémentaires dans la péninsule pro-russe de Crimée, depuis plusieurs jours en proie à de vives tensions séparatistes.
Des sites stratégiques sous le contrôle d'hommes armés
"La Russie a accru (le nombre de) ses troupes de 6.000 hommes" en Crimée, a affirmé samedi le ministre de la Défense Igor Tenioukh. Près de 30 blindés ont aussi été déployés, a-t-il ajouté, dénonçant une "violation grossière" des accords régulant la présence de la flotte russe de la mer Noire en Crimée.
Plusieurs sites stratégiques de Crimée sont désormais sous le contrôle d'hommes armés et en uniformes, manifestement pro-russes, mais sans signe permettant de les identifier. Ils contrôlent les aéroports de Simféropol, de Sébastopol, de Kirovske, ainsi que le centre-ville de Simféropol, et ont hissé le drapeau russe sur plusieurs bâtiments officiels.
Poutine demande au Parlement d'approuver "le recours à l'armée russe en Ukraine"
Par La rédaction de RTL.fr , Avec AFP | Publié le 01/03/2014 à 15h07 | Mis à jour le 01/03/2014 à 15h17
Poutine demande au Parlement d'approuver "le recours à l'armée russe en Ukraine"
Par La rédaction de RTL.fr , Avec AFP | Publié le 01/03/2014 à 15h07 | Mis à jour le 01/03/2014 à 15h17
international
Vladimir Poutine, président de la Fédération de Russie, le 26 février 2014 dans sa résidence de Novo-Ogaryovo
Crédit : AFP / MIKHAIL METZEL
Vladimir Poutine a demandé samedi à la chambre haute du Parlement russe d'approuver "le recours à l'armée russe en Ukraine".Le président russe Vladimir Poutine a demandé samedi 1er mars au Conseil de la Fédération (chambre haute du Parlement) d'approuver "le recours à l'armée russe en Ukraine". "En raison de la situation extraordinaire en Ukraine et de la menace pesant sur la vie des citoyens russes, de nos compatriotes, des forces armées russes déployées en Ukraine", Vladimir Poutine a demandé au Conseil de la Fédération d'autoriser "le recours aux forces armées russes sur le territoire de l'Ukraine, jusqu'à la normalisation de la situation politique dans ce pays", selon un communiqué du service de presse du Kremlin.
La Russie dispose d'une force armée non négligeable en Crimée (sud de l'Ukraine): la Flotte russe de la mer Noire, qui compte quelque 20.000 hommes, est basée à Sébastopol, aux termes d'un accord entre Moscou et Kiev. Les autorités ukrainiennes ont accusé la Russie d'avoir déjà déployé des milliers d'hommes supplémentaires dans la péninsule pro-russe de Crimée, depuis plusieurs jours en proie à de vives tensions séparatistes.
Des sites stratégiques sous le contrôle d'hommes armés
"La Russie a accru (le nombre de) ses troupes de 6.000 hommes" en Crimée, a affirmé samedi le ministre de la Défense Igor Tenioukh. Près de 30 blindés ont aussi été déployés, a-t-il ajouté, dénonçant une "violation grossière" des accords régulant la présence de la flotte russe de la mer Noire en Crimée.
Plusieurs sites stratégiques de Crimée sont désormais sous le contrôle d'hommes armés et en uniformes, manifestement pro-russes, mais sans signe permettant de les identifier. Ils contrôlent les aéroports de Simféropol, de Sébastopol, de Kirovske, ainsi que le centre-ville de Simféropol, et ont hissé le drapeau russe sur plusieurs bâtiments officiels.
Invité- Invité
Re: Le drapeau russe hissé sur le Parlement de Crimée en Ukraine
A entendre les hurlements de Obama à Baroso en passant par Merkel et Hollande, je me dis que Poutine a sacrément raison ! Et s'il nous retourne dans la figure nos interventions armées en Yougoslavie et en Afrique, il n'aura pas tort !
Alors, on fait quoi ? Comme en 39 ? On va lui déclarer la guerre ? Nous, les Maîtres du Monde ? Allez qui c'est qui va y aller le premier... Vous, les Frenchies, vous avez l'habitude ! Aprés "Mourir pour Dantzig", voilà le temps des "Mourir pour Kiev" !
Alors, on fait quoi ? Comme en 39 ? On va lui déclarer la guerre ? Nous, les Maîtres du Monde ? Allez qui c'est qui va y aller le premier... Vous, les Frenchies, vous avez l'habitude ! Aprés "Mourir pour Dantzig", voilà le temps des "Mourir pour Kiev" !
Crocodil Dundee- Chef
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Re: Le drapeau russe hissé sur le Parlement de Crimée en Ukraine
Je l'avais dit partout, les jeux olympiques terminés, Poutine allait siffler la fin de la récré.
maryvette- Habitué
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Re: Le drapeau russe hissé sur le Parlement de Crimée en Ukraine
Défection du navire amiral de la flotte ukrainienne
Selon la chaîne d'information continue russe RT, la frégate Hetman-Sahaydachniy, le navire amiral de la flotte ukrainienne aurait fait défection samedi 1er mars, en refusant de suivre les ordres du gouvernement de Kiev, et aurait hissé le drapeau russe après une patrouille dans le golfe d'Aden. Igor Morozov, un membre du comité du Conseil de la Fédération sur la défense et les affaires étrangères, qui est actuellement en Crimée, a lui aussi indiqué dans le quotidien Izvestia que la frégate avait rejoint le « camp russe ».
http://www.lemonde.fr/europe/article/2014/03/02/defection-du-navire-amiral-de-la-flotte-ukrainienne_4376203_3214.html
Selon la chaîne d'information continue russe RT, la frégate Hetman-Sahaydachniy, le navire amiral de la flotte ukrainienne aurait fait défection samedi 1er mars, en refusant de suivre les ordres du gouvernement de Kiev, et aurait hissé le drapeau russe après une patrouille dans le golfe d'Aden. Igor Morozov, un membre du comité du Conseil de la Fédération sur la défense et les affaires étrangères, qui est actuellement en Crimée, a lui aussi indiqué dans le quotidien Izvestia que la frégate avait rejoint le « camp russe ».
http://www.lemonde.fr/europe/article/2014/03/02/defection-du-navire-amiral-de-la-flotte-ukrainienne_4376203_3214.html
Merl1- Administrateur
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