Extrême droite : les groupes dissous font de la résistance
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Extrême droite : les groupes dissous font de la résistance
Les jeunesses nationalistes et l'œuvre française continuent de participer à des regroupements.
"A moins de nous dissoudre dans l'acide, je ne vois pas comment le gouvernement peut nous faire disparaître". La phrase est signée Yvan Benedetti, l'ancien président de l'Œuvre française, dissoute en juillet dernier, à la suite de la mort de l'antifa Clément Méric, par un décret présidentiel qui marqua la fin du plus ancien groupe d'extrême droite en France. Un véritable événement, d'autant plus que cette dissolution s'était accompagnée de celle du mouvement des Jeunesses nationalistes, la "branche" activiste de l'Œuvre française.
Mais depuis, l'Œuvre française et les Jeunesses nationalistes se regroupent régulièrement sous l'étiquette du Clan, le Comité de liaison et d’aide aux nationalistes, créé il y a un an, pour "faire face à la répression individuelle dont sont victimes les militants d'extrême droite", selon leur formule. Lors de ces rassemblements, les deux groupes d'extrême droite flirtent avec les limites du droit pour éviter toute poursuite.
Un discours de résistance… Lors de l'officialisation de leur dissolution par le Conseil d'Etat le 25 octobre dernier, les deux présidents des mouvements avaient témoigné leur volonté de poursuivre leur action. "Le nationalisme ne peut être stoppé par leur police politique puisqu'il vit dans nos cœurs et dans nos âmes", pouvait-on lire sur le compte Facebook d'Alexandre Gabriac, fondateur des Jeunesses nationalistes. Un discours qu'il avait déjà tenu lors de l'annonce par Manuel Valls de la dissolution de son mouvement. "Croire que dissoudre notre mouvement avec un bout de papier stoppera notre détermination et notre avancée relève du fantasme. L'avenir est à nous", écrivait-il le 24 juillet, jour de la dissolution des Jeunesses nationalistes. C'est donc en substance les même propos qu'il nous répète quand on l'interroge sur l'avenir de son groupe. "Le gouvernement n'arrivera pas à endiguer le combat nationaliste en France", assure Alexandre Gabriac. [...]
"A moins de nous dissoudre dans l'acide, je ne vois pas comment le gouvernement peut nous faire disparaître". La phrase est signée Yvan Benedetti, l'ancien président de l'Œuvre française, dissoute en juillet dernier, à la suite de la mort de l'antifa Clément Méric, par un décret présidentiel qui marqua la fin du plus ancien groupe d'extrême droite en France. Un véritable événement, d'autant plus que cette dissolution s'était accompagnée de celle du mouvement des Jeunesses nationalistes, la "branche" activiste de l'Œuvre française.
Mais depuis, l'Œuvre française et les Jeunesses nationalistes se regroupent régulièrement sous l'étiquette du Clan, le Comité de liaison et d’aide aux nationalistes, créé il y a un an, pour "faire face à la répression individuelle dont sont victimes les militants d'extrême droite", selon leur formule. Lors de ces rassemblements, les deux groupes d'extrême droite flirtent avec les limites du droit pour éviter toute poursuite.
Un discours de résistance… Lors de l'officialisation de leur dissolution par le Conseil d'Etat le 25 octobre dernier, les deux présidents des mouvements avaient témoigné leur volonté de poursuivre leur action. "Le nationalisme ne peut être stoppé par leur police politique puisqu'il vit dans nos cœurs et dans nos âmes", pouvait-on lire sur le compte Facebook d'Alexandre Gabriac, fondateur des Jeunesses nationalistes. Un discours qu'il avait déjà tenu lors de l'annonce par Manuel Valls de la dissolution de son mouvement. "Croire que dissoudre notre mouvement avec un bout de papier stoppera notre détermination et notre avancée relève du fantasme. L'avenir est à nous", écrivait-il le 24 juillet, jour de la dissolution des Jeunesses nationalistes. C'est donc en substance les même propos qu'il nous répète quand on l'interroge sur l'avenir de son groupe. "Le gouvernement n'arrivera pas à endiguer le combat nationaliste en France", assure Alexandre Gabriac. [...]
http://www.europe1.fr/France/Extreme-droite-les-groupes-dissous-font-de-la-resistance-1709791/Alexandre GABRIAC a écrit:Croire que dissoudre avec un bout de papier nos assos stoppera notre détermination et notre avancée relève du fantasme. L'avenir est à nous.
Merl1- Administrateur
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Date d'inscription : 27/07/2012
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Re: Extrême droite : les groupes dissous font de la résistance
A quand la dissolution de SOS Racisme ? Elle va de soit puisque nous avons appris que le mot "race" n'existait pas ! Pas de "race", pas d'anti-racisme !
Crocodil Dundee- Chef
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Date d'inscription : 24/09/2013
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Localisation : Avignon
Re: Extrême droite : les groupes dissous font de la résistance
C'est aussi vrai qu'il n'y a pas d'ivrognes chez les buveurs d'eau (même de Vichy).Crocodil Dundee a écrit:
A quand la dissolution de SOS Racisme ?
Elle va de soit puisque nous avons appris que le mot "race" n'existait pas !
Pas de "race", pas d'anti-racisme !
Jean Bart- Administrateur
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