« La Shoah » : effets désastreux de l’endoctrinement des jeunes.
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« La Shoah » : effets désastreux de l’endoctrinement des jeunes.
« La Shoah » :
effets désastreux de l’endoctrinement des jeunes.
à Annick D…
Voilà des lustres que je dénonce la nocivité de toutes ces tentatives
d’enseignement de « la Shoah » dans nos écoles ou ailleurs.
Il y a dix ans, Mara Goyet, qui, à l’époque, n’avait pas encore trente ans,
enseignait l’histoire et la géographie dans un collège de la région parisienne,
plus précisément dans le département de la Seine-Saint-Denis (chef-lieu :Bobigny).
Sous le titre Collèges de France (Fayard, 2003, 208 p.) elle a publié une collection
piquante et vivace de 95 eaux-fortes sur son expérience d’enseignante en milieu «sensible».
Le récit intitulé « Aller au théâtre » (p. 89-90) tient en deux actes.
Deux classes travaillent sur le concours de la Résistance.
D’anciens résistants viennent au collège leur parler.
Ils les trouvent sympathiques et décident d’inviter tous les troisièmes
de l’établissement à une pièce de théâtre relatant l’histoire d’une famille juive
pendant la guerre.
Tout cela se fait au dernier moment, s’improvise : et hop ! tous au théâtre.
Les lumières s’éteignent et le chaos commence.
Pendant une heure et demie les élèves hurlent, s’esclaffent, insultent les acteurs.
A une femme en tenue de déportée : « A poil, salope ! »
A un père qui dit adieu à son enfant : « Pédophile ! »
D’autres crient : « A la douche, à la douche ! » Une heure trente abominable.
Les lumières se rallument.
L’un des acteurs vient annoncer que la troupe refuse de saluer.
Quelques profs sont en larmes.
Les résistants qui avaient invité tout le monde partent, certains pleurent.
Le malaise est général. Un élève monte sur la scène et crie à ses camarades :
« Frères musulmans, mes frères, ce que nous avons fait est mal,
nous n’avons pas respecté le travail de ces acteurs… »
Les jours suivants, le collège est en émoi, des discours sont tenus aux élèves.
Ces derniers décident de se rattraper.
Ils bricolent une invitation qu’ils distribuent aux anciens résistants et déportés
de la commune ainsi qu’aux acteurs et au metteur en scène, les conviant
à une rencontre dont le contenu reste secret.
Au passage, la jeune fille qui distribue le tract traite de salope une prof qui,
selon elle, aurait « mal pris le papier ».
Par la suite, cette même charmante jeune fille, après une vraie minute de silence
à la mémoire des morts (ce qui est un exploit), lit une lettre d’excuse et remet
des fleurs aux résistants, aux acteurs et aux profs. Beaucoup pleurent.
Les élèves vont ensuite au cimetière déposer des fleurs sur le monument
consacré aux morts en déportation.
Je ne sais s’il faut hurler de rire ou vomir devant ce repentir hollywoodien :
peut-être les deux (mais dans quel ordre ?).
A vrai dire, les deux actes sont à rire ou à vomir.
Et, dans les détails, ils sont pleins d’un enseignement que la loi Fabius-Gayssot,
parue au Journal officiel de la République française le 14 juillet 1990,
interdit de tirer sous peine d’une condamnation :
1) à un an de prison,
2) à une amende de 45 000 €,
3) à bien d’autres peines financières,
4) à une mise au ban de la société et/ou à la perte de son emploi,
5) à subir des coups et des blessures qui ne seront jamais sanctionnés,
en particulier si les agressions se sont produites dans l’enceinte d’une université
ou d’un palais de justice du fait de milices juives collaborant avec la police française
(à ce sujet voyez l’article
« Milices juives : Quinze ans et plus de terrorisme, en France »,
dans le présent blog à la date du 1er juin 1995 et dans mes Ecrits révisionnistes
(1974-1998), vol. IV, p. 1694-1712).
21 septembre 2013
Posted by N
Labels: Annick D…, Bobigny, concours de la Résistance, loi Fabius-Gayssot,
Mara Goyet, Milices juives
Source :
http://robertfaurisson.blogspot.it/search?updated-min=2013-01-01T00:00:00-08:00&updated-max=2014-01-01T00:00:00-08:00&max-results=23
effets désastreux de l’endoctrinement des jeunes.
à Annick D…
Voilà des lustres que je dénonce la nocivité de toutes ces tentatives
d’enseignement de « la Shoah » dans nos écoles ou ailleurs.
Il y a dix ans, Mara Goyet, qui, à l’époque, n’avait pas encore trente ans,
enseignait l’histoire et la géographie dans un collège de la région parisienne,
plus précisément dans le département de la Seine-Saint-Denis (chef-lieu :Bobigny).
Sous le titre Collèges de France (Fayard, 2003, 208 p.) elle a publié une collection
piquante et vivace de 95 eaux-fortes sur son expérience d’enseignante en milieu «sensible».
Le récit intitulé « Aller au théâtre » (p. 89-90) tient en deux actes.
Deux classes travaillent sur le concours de la Résistance.
D’anciens résistants viennent au collège leur parler.
Ils les trouvent sympathiques et décident d’inviter tous les troisièmes
de l’établissement à une pièce de théâtre relatant l’histoire d’une famille juive
pendant la guerre.
Tout cela se fait au dernier moment, s’improvise : et hop ! tous au théâtre.
Les lumières s’éteignent et le chaos commence.
Pendant une heure et demie les élèves hurlent, s’esclaffent, insultent les acteurs.
A une femme en tenue de déportée : « A poil, salope ! »
A un père qui dit adieu à son enfant : « Pédophile ! »
D’autres crient : « A la douche, à la douche ! » Une heure trente abominable.
Les lumières se rallument.
L’un des acteurs vient annoncer que la troupe refuse de saluer.
Quelques profs sont en larmes.
Les résistants qui avaient invité tout le monde partent, certains pleurent.
Le malaise est général. Un élève monte sur la scène et crie à ses camarades :
« Frères musulmans, mes frères, ce que nous avons fait est mal,
nous n’avons pas respecté le travail de ces acteurs… »
Les jours suivants, le collège est en émoi, des discours sont tenus aux élèves.
Ces derniers décident de se rattraper.
Ils bricolent une invitation qu’ils distribuent aux anciens résistants et déportés
de la commune ainsi qu’aux acteurs et au metteur en scène, les conviant
à une rencontre dont le contenu reste secret.
Au passage, la jeune fille qui distribue le tract traite de salope une prof qui,
selon elle, aurait « mal pris le papier ».
Par la suite, cette même charmante jeune fille, après une vraie minute de silence
à la mémoire des morts (ce qui est un exploit), lit une lettre d’excuse et remet
des fleurs aux résistants, aux acteurs et aux profs. Beaucoup pleurent.
Les élèves vont ensuite au cimetière déposer des fleurs sur le monument
consacré aux morts en déportation.
Je ne sais s’il faut hurler de rire ou vomir devant ce repentir hollywoodien :
peut-être les deux (mais dans quel ordre ?).
A vrai dire, les deux actes sont à rire ou à vomir.
Et, dans les détails, ils sont pleins d’un enseignement que la loi Fabius-Gayssot,
parue au Journal officiel de la République française le 14 juillet 1990,
interdit de tirer sous peine d’une condamnation :
1) à un an de prison,
2) à une amende de 45 000 €,
3) à bien d’autres peines financières,
4) à une mise au ban de la société et/ou à la perte de son emploi,
5) à subir des coups et des blessures qui ne seront jamais sanctionnés,
en particulier si les agressions se sont produites dans l’enceinte d’une université
ou d’un palais de justice du fait de milices juives collaborant avec la police française
(à ce sujet voyez l’article
« Milices juives : Quinze ans et plus de terrorisme, en France »,
dans le présent blog à la date du 1er juin 1995 et dans mes Ecrits révisionnistes
(1974-1998), vol. IV, p. 1694-1712).
21 septembre 2013
Posted by N
Labels: Annick D…, Bobigny, concours de la Résistance, loi Fabius-Gayssot,
Mara Goyet, Milices juives
Source :
http://robertfaurisson.blogspot.it/search?updated-min=2013-01-01T00:00:00-08:00&updated-max=2014-01-01T00:00:00-08:00&max-results=23
Jean Bart- Administrateur
- Messages : 4868
Date d'inscription : 12/08/2013
Age : 79
Localisation : Braunau/Inn (Autriche)
Re: « La Shoah » : effets désastreux de l’endoctrinement des jeunes.
je rappelle que Faurisson est un crétin maintes et maintes fois condamné par la justice.
un homme si bon envers le peuple...
un homme si bon envers le peuple...
Torchwood- Maître
- Messages : 2231
Date d'inscription : 22/08/2013
Re: « La Shoah » : effets désastreux de l’endoctrinement des jeunes.
LA JUSTICE :Torchwood a écrit:
je rappelle que Faurisson est un crétin maintes et maintes fois condamné par la justice.
un homme si bon envers le peuple...
Jean Bart- Administrateur
- Messages : 4868
Date d'inscription : 12/08/2013
Age : 79
Localisation : Braunau/Inn (Autriche)
Re: « La Shoah » : effets désastreux de l’endoctrinement des jeunes.
OH ta gueule le nazi.
Invité- Invité
Re: « La Shoah » : effets désastreux de l’endoctrinement des jeunes.
Pendant la guerre, les Français parlaient aux Français. Mais les Allemands aussi !
Merl1- Administrateur
- Messages : 5741
Date d'inscription : 27/07/2012
Localisation : La Géhenne ou presque...
Feuille de personnage
Casier judiciaire:
(0/0)
Re: « La Shoah » : effets désastreux de l’endoctrinement des jeunes.
Tu ne crois pas si bien dire Merl1.Merl1 a écrit:
Pendant la guerre, les Français parlaient aux Français.
Mais les Allemands aussi !
Les Petits chanteurs à la croix de bois en Allemagne.
"Dans un de vos derniers numéros, vous avez évoqué la tournée
des Petits Chanteurs à la Croix de Bois en Allemagne, en 1943.
Il est dommage que vous n’ayez pas consulté l’organe de liaison
des travailleurs français en Allemagne,Le Pont.
Dans la livraison du 11 avril 1943, vous y auriez trouvé une photo très intéressante,
totalement occultée aujourd’hui.
On y voit, dans la salle de la Philharmonie de Berlin, les « petits chanteurs » et,
en soutane, l’abbé Maillet qui les conduisait.
Au fond, le drapeau à croix gammée est bien visible (voir le cliché)…
L’auteur de l’article écrit :
"Quel magnifique spectacle que celui auquel nous avons pu assister jeudi dernier
[8 avril 1943] dans la salle de la Philharmonie de Berlin, grâce au concert organisé
par la KDF et l’Amicale des Travailleurs français en Allemagne (voir le public).
Ce n’est pas la richesse de la mise en scène qui me fait pousser ce cri enthousiaste,
car, de mise en scène, il n’y en avait pas : sur la scène, une trentaine d’enfants
et de jeune gens vêtus uniformément et simplement, en prêtre en soutane noire,
avec au fond les drapeaux tricolore et à la croix gammée et c’est tout.
[…].
Le spectacle avait commencé par une allocution de M. Castagnet, chef de la délégation
officielle française à Berlin, qui a souhaité la bienvenue à M. l’abbé Maillet et
à ses petits chanteurs et les a remercié de venir apporter un peu de joie et d’air de France
aux ouvriers qui viennent travailler de si loin de chez eux par suite des nécessités de la guerre.
Il a remercié d’autre part les autorités allemandes qui ont accordé toutes facilités à l’organisation de ce concert qui n’est pas unique,puisque c’est dans toute l’Allemagne
qu’ils sont venus chanter pour leurs compatriotes, travailleurs civils et prisonniers.
Ces autorités étaient du reste présentes dans la salle en la personne du Dr Mall
et de M. Schultz du Front du Travail Allemand (DAF) et de M. Purmann,de la KFD.
[…]
Nos jeunes chanteurs représentant la jeunesse française, une délégation
de la jeunesse allemande était venue spécialement pour les saluer
avec à sa tête l’Oberbannführer Zander, chef du Service culturel
de la Jeunesse hitlérienne, Oberstammführer Deppe et le Dr Bran,
membre du Comité franco-allemand et des jeunesses hitlériennes.
Après la soirée, les représentants de la Jeunesse hitlérienne s’entretinrent
avec les jeunes chanteurs français et les ont félicité de leur belle réalisation
artistique au cours d’une réunion amicale où nous avons eu le plaisir d’entendre
l’abbé Maillet exprimer […] sa foi dans le rapprochement franco-allemand
et la déception que lui avait causée cette nouvelle guerre entre la France
et l’Allemagne". [1]
Un monument aux morts français en Allemagne.
Je possède ces journaux car mon père était un ami du sculpteur Roger Baron.
Son histoire, aujourd’hui bien oubliée, mérité d’être raconté.
Fait prisonnier en 1940, il se retrouva à l’Oflag d’Edelbach.
Comme il acceptait de travailler, les autorités du camp l’affectèrent à l’entretien
du cimetière de la ville. Un jour, elles lui proposèrent d’ériger, dans le cimetière,
un moment aux morts… français.
R. Baron accepta et se mit au travail. Il fit une statue de 4 mètres de haut.
Elle représentait un soldat tête nue qui,les mains jointes dans une attitude de prière,
fixait l’horizon (voir le cliché).
Le Pont, écrit :
"L’artiste demanda qu’on lui permit de tourner la figure martiale, qui semblait veiller,
vers la France, comme s’il avait voulu dire que le soldat de ciment armait priait
pour le salut de notre pays, les yeux attachés à l’horizon natal, malgré l’exil
et la distance.
L’idée plut aux autorités allemandes.
— Vous restez soldat jusqu’au bout. C’est très bien. C’est très noble.
Nous comprenons.
L’artiste fut libéré pour ce travail et fêté par tous ses camarades
et aussi par les autorités.
Les Allemands, pour rendre un hommage plus précis au sculpteur, ont fait dévier
la route du cimetière, qui passait derrière la statue, pour qua chacun puisse
admirer le monument aux morts".[2]
Dossier :
http://liberation-44.forumactif.org/t1328-1940-1944-quand-lamitie-franco-allemande-etait-devenue-une-realite
Jean Bart- Administrateur
- Messages : 4868
Date d'inscription : 12/08/2013
Age : 79
Localisation : Braunau/Inn (Autriche)
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