La maçonnerie par Philippe Ploncard d'Assac.

coordinateur a écrit:Quelle caricature stupide et erronée !!!!

Généalogie de la famille d'Assac

Selon un acte notarié du 9 octobre 2002[, « il ressort du livre sur la généalogie de la famille d’Assac, que cette famille originaire de Beaucaire en bas Languedoc, est présumée issue de la souche noble des d’Assac du Vigan dans les Cévennes dont une branche est venue s’établir à Lyon depuis les années 1930. » Selon ce même ouvrage, le nom d’Assac est retrouvé dans les ascendants par les femmes, le nom étant écrit tantôt d’Assac, tantôt d’Assas, selon l'époque. Du fait de cette ascendance, Jacques Ploncard d'Assac, son père, a commencé entre les deux dernières guerres à adjoindre « d’Assac » à son nom, sous lequel il a acquis et établi sa notoriété littéraire ; le nom est devenu d’usage pour lui et ses descendants, il n'est donc noble que d'apparence.

Jeunesse

Il a passé une partie de sa jeunesse au Portugal lorsque son père était auprès du président António de Oliveira Salazar.

Parcours professionnel

Neurochirurgien aujourd'hui retraité, il a été chef de clinique à l'hôpital universitaire de Genève puis professeur invité à l'Université de Bruxelles. Il est reconnu[réf. nécessaire] comme un des pionniers de la microchirurgie appliquée à la neurochirurgie, en particulier la microchirurgie vasculaire du cerveau. Il est l'auteur d'un Précis de techniques microchirurgicales.

Parcours politique

Membre du Front National, il est appelé en 1990 par Jean-Marie Le Pen pour reprendre en main le Cercle national des français résidents à l'étranger (CFRE). Il le quitte en 1993, officiellement[réf. nécessaire] en raison de l'interdiction qui lui a été faite de parler de Charles de Gaulle, de la Nouvelle Droite, de la franc-maçonnerie, de l'avortement, etc. Il fonde les Cercles Nationalistes Français (CNF) après son retour en France[Quand ?] et publie un ouvrage intitulé Le Nationalisme français. Il dispose de 2000 à 2011 d'une tribune dans l'émission de Serge de Beketch sur Radio Courtoisie, mais la quitte au motif de l'interdiction qui lui serait faite de parler de la franc-maçonnerie[réf. nécessaire].

À partir d'avril 2001, il diffuse sur abonnement une lettre d'information mensuelle, La Politique. Il dirige une maison d'édition, « La société de philosophie politique », qui publie ses livres ainsi que ceux de son père Jacques Ploncard d'Assac. Il donne des conférences dans les milieux catholiques traditionalistes1.

Doctrine

Son combat nationaliste vise à former doctrinalement des cadres pour rétablir les principes constitutifs qui ont fait la France depuis le baptême de Clovis. Il s'oppose à la franc-maçonnerie, qu'il accuse d'être l'instigatrice de la Révolution française et de la « république des lobbies ». Il dénonce également dans Enquête sur la « Nouvelle Droite » et ses « compagnons de route » ce qui est selon lui un clan gnostique agissant à l'intérieur de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie-X et regroupant les abbés Philippe Laguérie, Grégoire Célier et Guillaume de Tanoüarn. Il s'inscrit dans la lignée de son père qui avait commencé à dénoncer la Nouvelle Droite dans le numéro 5 de la revue Europe-Action.