Charles Maurras
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Charles Maurras
Charles Maurras
Journaliste, homme politique, écrivain et poète. (1868-1952)
"Né à Martigues (Bouches-du-Rhône), le 20 avril 1868.
Issu d’une vieille famille provençale, atteint de surdité dès l’enfance, Charles Maurras grandit dans un milieu traditionaliste et fit ses études au collège catholique d’Aix-en-Provence. Venu adolescent à Paris, il se voua à l’étude des humanités gréco-latines ; à dix-sept ans il publiait son premier article dans les Annales de philosophie chrétienne. Il devait collaborer par la suite à différents journaux et revues : L’Événement, La Revue bleue, La Gazette de France, La Revue encyclopédique. Il s’y faisait le chantre d’une conception classique de la « véritable » pensée française, contre les excès irrationnels du romantisme, qu’il considérait comme une forme de décadence.
Marquée par le même traditionalisme, sa pensée politique en fit le défenseur d’un patriotisme, que Maurras qualifiait lui-même de « nationalisme intégral » et qui repose sur la condamnation sans appel des erreurs commises depuis la Révolution, le rejet de tous les principes démocratiques, jugés contraires à l’inégalité naturelle, le retour enfin à une monarchie héréditaire.
Son militantisme devait conduire Charles Maurras à créer le groupe des Néo-monarchistes et à fonder, en 1899, la revue de L’Action française. Militant en faveur du catholicisme comme principe d’ordre social, mais agnostique par convictions personnelles, Maurras allait s’attirer les foudres de l’Église, qui condamna L’Action française en 1926 et mit à l’index plusieurs des livres de l’écrivain, dans une œuvre qui comporte de nombreux titres : Le Chemin de Paradis (1895), Trois idées politiques (1898), Enquête sur la monarchie (1900-1909), Anthinéa (1901), Les Amants de Venise : George Sand et Musset (1902), L’Avenir de l’intelligence (1905), Le Dilemme de Marc Sangnier (1906), Kiel et Tanger (1910), La Politique religieuse (1912), Romantisme et Révolution (1922), Le Mystère d’Ulysse (1923), La Musique intérieure (1925), Barbarie et Poésie (1925), Un débat sur le romantisme (1928), Au signe de Flore (1931), L’Amitié de Platon (1936), La Dentelle du rempart (1937), Mes idées politiques (1937), Quatre poèmes d’Eurydice (1938), Louis XIV ou l’Homme-Roi (1939), La Sagesse de Mistral (1941), La Seule France. Chronique des jours d’épreuve (1941), De la colère à la justice (1942), etc.
Il eut une grande influence sur une partie de la jeunesse, celle qui se groupa dans le mouvement des Camelots du roi.
Charles Maurras, qui avait dénoncé dès après la Première Guerre mondiale l’insuffisance du traité de Versailles et condamné, par antigermanisme, la politique de rapprochement avec l’Allemagne menée par Briand, devait cependant, par crainte de la menace communiste, approuver les accords de Munich et se faire le défenseur, à la veille de la Seconde Guerre mondiale, des thèses pacifistes. En 1940, il saluait comme une « divine surprise » l’arrivée du maréchal Pétain au pouvoir. Pendant l’Occupation, il se fit, avec toute sa vigueur polémique, l’apologiste du gouvernement de Vichy et l’inspirateur de la politique de Collaboration.
Condamné en 1945 par la haute cour de justice de Lyon à la réclusion à perpétuité et à la dégradation nationale, il fut interné à Riom, puis à Clairvaux. En 1952, sa santé déclinante le fit admettre à la clinique de Saint-Symphorien-lès-Tours, où il devait s’éteindre.
Charles Maurras, après un premier échec contre Jonnart en 1924, avait été élu à l’Académie française le 9 juin 1938 au fauteuil d’Henri-Robert, par 20 voix contre 12 à Fernand Gregh ; il était reçu le 8 juin de l’année suivante par Henry Bordeaux.
Sa condamnation entraînait automatiquement sa radiation de l’Académie (article 21 de l’ordonnance du 26 décembre 1944) ; il fut en fait décidé, lors de la séance du 1er février 1945, qu’on déclarerait vacant le fauteuil de Maurras, sans pour autant voter la radiation. Ainsi, Charles Maurras, comme le maréchal Pétain, mais à la différence d’Abel Hermant et Abel Bonnard, ne fut remplacé sous la Coupole qu’après sa mort.
Mort le 16 novembre 1952."
http://www.academie-francaise.fr/les-immortels/charles-maurras
http://maurras.net/textes/
Journaliste, homme politique, écrivain et poète. (1868-1952)
"Né à Martigues (Bouches-du-Rhône), le 20 avril 1868.
Issu d’une vieille famille provençale, atteint de surdité dès l’enfance, Charles Maurras grandit dans un milieu traditionaliste et fit ses études au collège catholique d’Aix-en-Provence. Venu adolescent à Paris, il se voua à l’étude des humanités gréco-latines ; à dix-sept ans il publiait son premier article dans les Annales de philosophie chrétienne. Il devait collaborer par la suite à différents journaux et revues : L’Événement, La Revue bleue, La Gazette de France, La Revue encyclopédique. Il s’y faisait le chantre d’une conception classique de la « véritable » pensée française, contre les excès irrationnels du romantisme, qu’il considérait comme une forme de décadence.
Marquée par le même traditionalisme, sa pensée politique en fit le défenseur d’un patriotisme, que Maurras qualifiait lui-même de « nationalisme intégral » et qui repose sur la condamnation sans appel des erreurs commises depuis la Révolution, le rejet de tous les principes démocratiques, jugés contraires à l’inégalité naturelle, le retour enfin à une monarchie héréditaire.
Son militantisme devait conduire Charles Maurras à créer le groupe des Néo-monarchistes et à fonder, en 1899, la revue de L’Action française. Militant en faveur du catholicisme comme principe d’ordre social, mais agnostique par convictions personnelles, Maurras allait s’attirer les foudres de l’Église, qui condamna L’Action française en 1926 et mit à l’index plusieurs des livres de l’écrivain, dans une œuvre qui comporte de nombreux titres : Le Chemin de Paradis (1895), Trois idées politiques (1898), Enquête sur la monarchie (1900-1909), Anthinéa (1901), Les Amants de Venise : George Sand et Musset (1902), L’Avenir de l’intelligence (1905), Le Dilemme de Marc Sangnier (1906), Kiel et Tanger (1910), La Politique religieuse (1912), Romantisme et Révolution (1922), Le Mystère d’Ulysse (1923), La Musique intérieure (1925), Barbarie et Poésie (1925), Un débat sur le romantisme (1928), Au signe de Flore (1931), L’Amitié de Platon (1936), La Dentelle du rempart (1937), Mes idées politiques (1937), Quatre poèmes d’Eurydice (1938), Louis XIV ou l’Homme-Roi (1939), La Sagesse de Mistral (1941), La Seule France. Chronique des jours d’épreuve (1941), De la colère à la justice (1942), etc.
Il eut une grande influence sur une partie de la jeunesse, celle qui se groupa dans le mouvement des Camelots du roi.
Charles Maurras, qui avait dénoncé dès après la Première Guerre mondiale l’insuffisance du traité de Versailles et condamné, par antigermanisme, la politique de rapprochement avec l’Allemagne menée par Briand, devait cependant, par crainte de la menace communiste, approuver les accords de Munich et se faire le défenseur, à la veille de la Seconde Guerre mondiale, des thèses pacifistes. En 1940, il saluait comme une « divine surprise » l’arrivée du maréchal Pétain au pouvoir. Pendant l’Occupation, il se fit, avec toute sa vigueur polémique, l’apologiste du gouvernement de Vichy et l’inspirateur de la politique de Collaboration.
Condamné en 1945 par la haute cour de justice de Lyon à la réclusion à perpétuité et à la dégradation nationale, il fut interné à Riom, puis à Clairvaux. En 1952, sa santé déclinante le fit admettre à la clinique de Saint-Symphorien-lès-Tours, où il devait s’éteindre.
Charles Maurras, après un premier échec contre Jonnart en 1924, avait été élu à l’Académie française le 9 juin 1938 au fauteuil d’Henri-Robert, par 20 voix contre 12 à Fernand Gregh ; il était reçu le 8 juin de l’année suivante par Henry Bordeaux.
Sa condamnation entraînait automatiquement sa radiation de l’Académie (article 21 de l’ordonnance du 26 décembre 1944) ; il fut en fait décidé, lors de la séance du 1er février 1945, qu’on déclarerait vacant le fauteuil de Maurras, sans pour autant voter la radiation. Ainsi, Charles Maurras, comme le maréchal Pétain, mais à la différence d’Abel Hermant et Abel Bonnard, ne fut remplacé sous la Coupole qu’après sa mort.
Mort le 16 novembre 1952."
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Merl1- Administrateur
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Re: Charles Maurras
Je me suis toujours demandé comment est ce que l'on pouvait avoir un quelquonque sentiment charnel parmi ces tas de cailloux, de la même manière qu'entouré de sable les semites deviennent nomades, j'ai ma reponse, on ne peut pas, on a que des conceptions abstraites et intelectuelles.Né à Martigues
Invité- Invité
Re: Charles Maurras
Vous aimez pas la Provence ?
Merl1- Administrateur
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Re: Charles Maurras
Si, mais pas vraiment pour sa vegetation, disons les choses comme elles sont.
Je suis plutot du genre forêt de teutoburg ou landes d'ecosse, mon nationalisme aussi, voyez ...
Je suis plutot du genre forêt de teutoburg ou landes d'ecosse, mon nationalisme aussi, voyez ...
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Re: Charles Maurras
Les cailloux ! Chez moi ce sont des vignes et du maquis, c'est plutôt vert. Sentir l'odeur du maquis et des herbes aromatiques, les cigales, le soleil de plomb et les chemins poussiéreux, les villages aux cours ombrée de platanes et aux fontaines claires ... Quand on connait les films de Pagnol on en a l'essence. Là on a un sentiment charnel, devant les vieilles bâtisses et aux détours des chapelles en haut des collines ont fait corps avec la Pronvincia camarade.B14 a écrit:Je me suis toujours demandé comment est ce que l'on pouvait avoir un quelconque sentiment charnel parmi ces tas de cailloux (...) pas vraiment pour sa végétation, disons les choses comme elles sont
Tant qu'on a pas fait les chemins de Provence à pied, de village en village (de rosé en rosé) on ne comprend pas. Mais j'imagine que c'est pareil avec toutes les régions. La Provence est une très belle province même si elle est gangréné dans les grandes villes comme Marseille ou Toulon par qui vous savez ...
Belisarius- Postulant
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Re: Charles Maurras
Comparé à ce qui se fait au nord, oui c'est exactement ça, deja les vignes ça pousse sur le caillou, ensuite essayez d'y faire pousser quelque chose ?Les cailloux !
On peut pas même y foutre sa tente, y a pas de "terre".
J'imagine te lire avec votre accent, je suis juste pliéChez moi ce sont des vignes et du maquis, c'est plutôt vert. Sentir l'odeur du maquis et des herbes aromatiques, les cigales, le soleil de plomb et les chemins poussiéreux, les villages aux cours ombrée de platanes et aux fontaines claires ... Quand on connait les films de Pagnol on en a l'essence. Là on a un sentiment charnel, devant les vieilles bâtisses et aux détours des chapelles en haut des collines ont fait corps avec la Pronvincia camarade.
Je dis pas que c'est une mauvaise region, je dis que l'environnement n'est pas propice à un sentiment nationaliste, enfin ethnique, je veut dire barbaro-pagano-mechant quoi.
Nos forêts sombres, nos chênes millenaires, les hivers rigoureux, les pluies et le temps sombre, ça forge un cimmerien ça.
Le soleil, les cocotiers, le sable et les dunes, ça forge plutot autre chose ...
Invité- Invité
Re: Charles Maurras
Bah il y avait bien des celtes puis des gallo-romains chez nous. Donc polythéistes comme dans toute les Gaules. D'ailleurs, pour les connaisseurs, j'habite en Cavarie
Une des divinité locales était la "dévoreuse d'hommes" (notez la roue solaire sur l'urne funéraire en bas à droite sous le lion)
Donc oui, la Provence a donné naissance a un peuple adorant le panthéon celte à l'origine, avant d'adopter celui de Rome, puis le christianisme.
Une des divinité locales était la "dévoreuse d'hommes" (notez la roue solaire sur l'urne funéraire en bas à droite sous le lion)
Donc oui, la Provence a donné naissance a un peuple adorant le panthéon celte à l'origine, avant d'adopter celui de Rome, puis le christianisme.
Je n'ai pas l'accent, mais je peux le prendre. Par contre j'ai la panoplie complète des expressions orales avec les variantes de villages.B14 a écrit:J'imagine te lire avec votre accent
Belisarius- Postulant
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Re: Charles Maurras
Elle a une b.... la "dévoreuse d'hommes" c'est vachement bizarre...
Merl1- Administrateur
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Re: Charles Maurras
on dit maurasse ou maura ?
L'Augure- Connaisseur
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Re: Charles Maurras
On prononce le "s".
C'est un truc de païen, faut pas chercher. C'est pas pour rien qu'on les a persécutés, les cabotins.Merl1 a écrit:Elle a une b.... la "dévoreuse d'hommes" c'est vachement bizarre
Belisarius- Postulant
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Date d'inscription : 25/07/2012
Re: Charles Maurras
ou c'est vous qui avez interpreté a posteriori n'importe comment aussi
parce que l'anthropophagie c'est soi les cultes megalithiques, soi les paganismes semites, pas le paganisme européen
parce que l'anthropophagie c'est soi les cultes megalithiques, soi les paganismes semites, pas le paganisme européen
Invité- Invité
Re: Charles Maurras
Tant qu'on a pas fait les chemins de Provence à pied, de village en village (de rosé en rosé) on ne comprend pas. Mais j'imagine que c'est pareil avec toutes les régions. La Provence est une très belle province même si elle est gangréné dans les grandes villes comme Marseille ou Toulon par qui vous savez ...
+1000 !
C'est une région magnifique, des terres jusqu'aux côtes. Elle devait être encore plus magnifique quand elle n'était pas encore gangrénée par certaines populations qui collectionnent les délits et les incivilités en tout genre, des gitans des Saintes-Maries jusqu'aux maghrébins d'Avignon, d'Aix et de Salon. Et contrairement aux touristes asiatiques, je peux vous dire qu'ils en ont rien à cirer du patrimoine ..
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Re: Charles Maurras
Ouais, mais le viêt c'est chiant aussi dans son genre.
Possible aussi, surtout dans un petit musée comme celui-là.B14 a écrit:c'est vous qui avez interprété a posteriori n'importe comment aussi
Belisarius- Postulant
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Date d'inscription : 25/07/2012
Re: Charles Maurras
vous la trouvez magnifique par absence de point de comparaison, moi je vois difficilement autre chose que du caillou
Invité- Invité
Re: Charles Maurras
"Tant de lieues le tenait séparé de sa ville, et depuis si longtemps ! Lui-même était si loin de supposer que j'eusse entendu parler d'elle ! Le commun des Français fait si volontiers ses délices de la crasse ignorance des plus illustres éléments de la géographie !"
Merl1- Administrateur
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Date d'inscription : 27/07/2012
Localisation : La Géhenne ou presque...
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Re: Charles Maurras
Qu'est ce que vous en savez que je n'ai pas de point de comparaison ? Je connais très bien l'Ardèche, la Lozère et le Vercors ... et même vos voisins de Normandie puisque j'y ai de la famille. Sans parler de l'international. Du reste c'est quoi cette fixette sur les cailloux, c'est pas un désert de caillasses ici hein ...vous la trouvez magnifique par absence de point de comparaison, moi je vois difficilement autre chose que du caillou
Belisarius- Postulant
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Re: Charles Maurras
oui donc vous comparer avec des endroits à peine plus vegetationné quoi ...
je connais aussi tout les lieux que vous venez de mentionner, c'ets un peu caillouteux aussi. Pour la normandie je connais moins, ça depend ou mais ce que j'en ai vu, c'est pas la gloire.
je connais aussi tout les lieux que vous venez de mentionner, c'ets un peu caillouteux aussi. Pour la normandie je connais moins, ça depend ou mais ce que j'en ai vu, c'est pas la gloire.
Invité- Invité
Re: Charles Maurras
B14 a écrit:oui donc vous comparer avec des endroits à peine plus vegetationné quoi ...
je connais aussi tout les lieux que vous venez de mentionner, c'ets un peu caillouteux aussi. Pour la normandie je connais moins, ça depend ou mais ce que j'en ai vu, c'est pas la gloire.
C'est toujours beaucoup mieux que la Bretagne en tout cas .
Jochen- Habitué
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Re: Charles Maurras
tu sais, on a des vrais forêts nous, pas des imitations "pour faire genre"
Invité- Invité
Re: Charles Maurras
Les bretons sont consanguins , c'est pour cela que beaucoup d'entre eux ont les jambes arqués .
Jochen- Habitué
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Re: Charles Maurras
Si la Normandie c'est pas vert, qu'est ce qui est vert ? N'importe quoi !Pour la Normandie je connais moins, ça dépend ou mais ce que j'en ai vu, c'est pas la gloire
Ils seront inaptes TAP les gredins, mais ils s'en foutent : ce qu'ils aiment, c'est la baille !Jochen a écrit:Les bretons sont consanguins , c'est pour cela que beaucoup d'entre eux ont les jambes arqués
Belisarius- Postulant
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