la statégie des terrorristes a des constantes
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la statégie des terrorristes a des constantes
L’alerte a la fausse bombe dans l’avion d’air France AF 463 affectée d’un précieux « bip » sonore occupe récemment l’actualité et permet d’appréhender une guerre qui change pas de nature ni d’objectifs mais de stratégie.
L’attentat contre Charlie Hebdo avait sa « rationalité » en ce sens qu’elle utilisait le blasphème afin de souder les peuples musulmans sur la base de leur religion « agressée ».
Cette communication morbide a eu son succès parmi ceux qui n’ont pas décodé suffisamment cet acte de « désinformation » par manque de culture générale et méconnaissance de la société dans laquelle on vit.
Cela a été reproduit dans les médias qui ont mis en premier plan « je suis Charlie » , qui exprimait une compassion très compréhensible pour les victimes ,sans ensuite faire un commentaire plus critique qui aurait clarifié cet acte horrible.
Ce qui était nécessaire !
Certains adolescents sont restés sur la position : « j’achète ou pas Charlie » qui est économique et non sur la position de la valeur de la vie humaine dans l’espace démocratique unique et irremplaçable, aussi lieu privilégié d’artistes et poètes ,qui ont réellement quelque chose à apporter à la célébration de valeur de l’aventure de la vie d’une manière générale.
Il ne s’agissait pas de considérer le problème d’une façon achat économique pour ensuite reprocher leur enrichissement soudain ou encore le fait d’insinuer qu’ils l’avaient cherché par leur irrespect ce qui est une confusion totale de l’esprit et donner du grain à moudre pour ceux que l’on doit combattre.
Et passé le fait que cela laissait opportunément la porte ouverte a la critique qui allait aider au manque de solidarité ainsi justifié ainsi qui allait suivre, justifiant leur comportement prudent qui ne prenaient pas en cause suffisamment la défense solidaire de la démocratie.
Elle était déjà considérée comme dommage collatéral dans leurs propos quelquefois désobligeant.
Car ,qu’on lise Charlie Hebdo ou pas ,ce journal était une balise dans régime démocratique basée sur une liberté d’expression garantie.
Qu’ils l’admettent ou pas leur attitude influe sur la nature de l’attaque suivante qui est inexorablement portée c’est cette continuité qui nous parler permet de parler de « guerre réelle ».
C’est la « valeur de la vie humaine » attribuée par une société qui est en jeu dans cette guerre et c’est cela qui permet de mieux comprendre les enjeux.
Le « prix » de la vie humaine est nulle dans un camp, pour un kamikaze elle est dans l’au delà, pour le terroriste sa valeur est nulle pour les déclarés apostats.
Les régimes de droit architecturés par des systèmes républicains qui comptabilisent mathématiquement malgré tout leurs électeurs, sont soudés historiquement plus ou moins étroitement à ce lieu ou cercle culturel qu’est la démocratie pour laquelle une vie est irremplaçable et n’a pas de prix.
Les derniers attentats à Paris sont des tueries de masse qui cette fois attaquent directement l’économie touristique comme en Égypte ou en Tunisie ou ils ont fait baisser avec succès les ressources de ces pays en vue d’installer encore plus de chaos et ainsi compromettre toute chance d’épanouissement de démocratie dans cet espace réservé aux lobbies religieux.
La guerre économique attaque ainsi l’intimité que peut avoir une république avec ses idéaux démocratiques économiquement c’est pour cela qu’elle se fait aussi culturellement.
Car malheureusement peu ont l’esprit bien clair et sont dominés par une confusion, quelquefois intéressé et entretenue la plus totale et ne savent pas faire face a une idéologie dont la folie apparente n’est qu’un de leur rideau protecteur.
La guerre a donc son volet « culturel » en plus de l’économique par l’élaboration de génération spontanée ou scolarisés dès le plus jeune âge qui place la valeur d’une vie humaine comme soumise a une « causa nostra » à support religieux qui ne donne aucune valeur à la vie de l’autre. Pour le kamikaze il est tellement caricatural qu’il se distingue à peine d’un jeu vidéo ou le tueur n’ayant aucun point en obtient dans l’au-delà par la destruction d’autres vies. Mais la rééducation par lunettes vidéo semble effectivement farfelue.
Idéologie de mort et de peur et guerre économique sont donc les deux faces d’une seule unique guerre stratégique celle pour la valeur ou le prix de la vie.
Une pseudo-bombe faite de cartons, facile à dissimiler ou a construire sur place ,est une autre façon encore de gérer ces attaques d’une façon plus maligne qui a encore ses deux faces : attaque économique et ensuite production de peur.
Une perturbation très importante ,crée avec peu de moyens, qui attaque le prix que l’on accorde à la vie.
Et elle peut s’avérer être une nouvelle stratégie redoutable adoubée avec de réels attentats.
On s’en sortira d’autant mieux que l’on n’abandonnera pas cette « déesse » démocratie et qu’on la défendra avec toute la solidarité qui est la base de son existence qu’on l’expliquera mieux qui a en subir des critiques en retour sur le fonctionnement de nos républiques.
Ce qu’il y a de sur, c’est qu’elle n’apparaît pas dans certaines élaborations de coalitions supranationales ou contrats commerciaux.
Et ce qui devrait être notre bonne boussole c’est bien le soutien aux Kurdes ceux qui ont protégé des chrétiens, sont indéniablement courageux car, eux aussi, risquent de se faire décapiter ou brûler et ils n’ont peu d’armes sur le terrain comparé aux armes prises aux Américains par daesh.
Mais les Kurdes n’ont pas d’argent,ils combattent avec leur humanité.....
L’attentat contre Charlie Hebdo avait sa « rationalité » en ce sens qu’elle utilisait le blasphème afin de souder les peuples musulmans sur la base de leur religion « agressée ».
Cette communication morbide a eu son succès parmi ceux qui n’ont pas décodé suffisamment cet acte de « désinformation » par manque de culture générale et méconnaissance de la société dans laquelle on vit.
Cela a été reproduit dans les médias qui ont mis en premier plan « je suis Charlie » , qui exprimait une compassion très compréhensible pour les victimes ,sans ensuite faire un commentaire plus critique qui aurait clarifié cet acte horrible.
Ce qui était nécessaire !
Certains adolescents sont restés sur la position : « j’achète ou pas Charlie » qui est économique et non sur la position de la valeur de la vie humaine dans l’espace démocratique unique et irremplaçable, aussi lieu privilégié d’artistes et poètes ,qui ont réellement quelque chose à apporter à la célébration de valeur de l’aventure de la vie d’une manière générale.
Il ne s’agissait pas de considérer le problème d’une façon achat économique pour ensuite reprocher leur enrichissement soudain ou encore le fait d’insinuer qu’ils l’avaient cherché par leur irrespect ce qui est une confusion totale de l’esprit et donner du grain à moudre pour ceux que l’on doit combattre.
Et passé le fait que cela laissait opportunément la porte ouverte a la critique qui allait aider au manque de solidarité ainsi justifié ainsi qui allait suivre, justifiant leur comportement prudent qui ne prenaient pas en cause suffisamment la défense solidaire de la démocratie.
Elle était déjà considérée comme dommage collatéral dans leurs propos quelquefois désobligeant.
Car ,qu’on lise Charlie Hebdo ou pas ,ce journal était une balise dans régime démocratique basée sur une liberté d’expression garantie.
Qu’ils l’admettent ou pas leur attitude influe sur la nature de l’attaque suivante qui est inexorablement portée c’est cette continuité qui nous parler permet de parler de « guerre réelle ».
C’est la « valeur de la vie humaine » attribuée par une société qui est en jeu dans cette guerre et c’est cela qui permet de mieux comprendre les enjeux.
Le « prix » de la vie humaine est nulle dans un camp, pour un kamikaze elle est dans l’au delà, pour le terroriste sa valeur est nulle pour les déclarés apostats.
Les régimes de droit architecturés par des systèmes républicains qui comptabilisent mathématiquement malgré tout leurs électeurs, sont soudés historiquement plus ou moins étroitement à ce lieu ou cercle culturel qu’est la démocratie pour laquelle une vie est irremplaçable et n’a pas de prix.
Les derniers attentats à Paris sont des tueries de masse qui cette fois attaquent directement l’économie touristique comme en Égypte ou en Tunisie ou ils ont fait baisser avec succès les ressources de ces pays en vue d’installer encore plus de chaos et ainsi compromettre toute chance d’épanouissement de démocratie dans cet espace réservé aux lobbies religieux.
La guerre économique attaque ainsi l’intimité que peut avoir une république avec ses idéaux démocratiques économiquement c’est pour cela qu’elle se fait aussi culturellement.
Car malheureusement peu ont l’esprit bien clair et sont dominés par une confusion, quelquefois intéressé et entretenue la plus totale et ne savent pas faire face a une idéologie dont la folie apparente n’est qu’un de leur rideau protecteur.
La guerre a donc son volet « culturel » en plus de l’économique par l’élaboration de génération spontanée ou scolarisés dès le plus jeune âge qui place la valeur d’une vie humaine comme soumise a une « causa nostra » à support religieux qui ne donne aucune valeur à la vie de l’autre. Pour le kamikaze il est tellement caricatural qu’il se distingue à peine d’un jeu vidéo ou le tueur n’ayant aucun point en obtient dans l’au-delà par la destruction d’autres vies. Mais la rééducation par lunettes vidéo semble effectivement farfelue.
Idéologie de mort et de peur et guerre économique sont donc les deux faces d’une seule unique guerre stratégique celle pour la valeur ou le prix de la vie.
Une pseudo-bombe faite de cartons, facile à dissimiler ou a construire sur place ,est une autre façon encore de gérer ces attaques d’une façon plus maligne qui a encore ses deux faces : attaque économique et ensuite production de peur.
Une perturbation très importante ,crée avec peu de moyens, qui attaque le prix que l’on accorde à la vie.
Et elle peut s’avérer être une nouvelle stratégie redoutable adoubée avec de réels attentats.
On s’en sortira d’autant mieux que l’on n’abandonnera pas cette « déesse » démocratie et qu’on la défendra avec toute la solidarité qui est la base de son existence qu’on l’expliquera mieux qui a en subir des critiques en retour sur le fonctionnement de nos républiques.
Ce qu’il y a de sur, c’est qu’elle n’apparaît pas dans certaines élaborations de coalitions supranationales ou contrats commerciaux.
Et ce qui devrait être notre bonne boussole c’est bien le soutien aux Kurdes ceux qui ont protégé des chrétiens, sont indéniablement courageux car, eux aussi, risquent de se faire décapiter ou brûler et ils n’ont peu d’armes sur le terrain comparé aux armes prises aux Américains par daesh.
Mais les Kurdes n’ont pas d’argent,ils combattent avec leur humanité.....
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