L'incroyable pacte entre les sionistes et nazis.
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L'incroyable pacte entre les sionistes et nazis.
L’incroyable pacte entre sionistes et nazis
dans l’entre-deux-guerres.
Dans l’avant propos de son livre Le Pacte germano-sioniste,Jean-Claude Valla écrit :
« Dans aucun manuel d’histoire vous ne trouverez mention
d’un pacte germano-sioniste.
Seuls quelques livres spécialisés, pour la plupart anglo-saxons ou israéliens,
évoquent la réunion du 7 août 1933 au ministère allemand de l’Économie,
au cours de laquelle des représentants de l’Agence juive et de l’Organisation
sioniste mondiale ont signé avec de hauts fonctionnaires du Reich ce que
l’on a appelé pudiquement l’accord de la haavara
(du mot hébreu haavara qui signifie : transfert). »
De quoi s’agissait-il ?
« (…) d’organiser le transfert vers la Palestine de capitaux
que les Juifs allemands, candidats à l’émigration,
souhaitaient emporter avec eux.
Cet accord technique, nous le verrons,ne fut que le premier acte
d’une étroite collaboration et joua un rôle décisif dans le développement
économique de cette région sous-développée qu’était la Palestine. »
Cette collaboration inimaginable pour beaucoup de nos contemporains
est pourtant confirmée par l’historien israélien Eliahu Ben Elissar :
« Personne ne connaît et sans doute ne pourra jamais déterminer
avec précision ni la date où fut prise la décision fatale d’exterminer
physiquement les Juifs ni les circonstances réelles dans lesquelles elle intervint.
Tout cependant tend à prouver que bien après son accession au pouvoir,
le Führer poursuivait encore une politique qui ne devait pas obligatoirement
déboucher sur une issue de cette nature. »
Et Jean-Claude Valla d’indiquer :
« La gêne des historiens à évoquer librement cette affaire tient au fait
que la Shoah occupe aujourd’hui une place considérable dans les esprits
et que cette hypertrophie de la Mémoire déforme complètement la vision
que l’on peut avoir des événements qui ont précédé la Seconde Guerre mondiale.
Si la Shoah est “indicible” comme certains le prétendent,il devient presque
impensable de dire que des sionistes ont collaboré avec le IIIe Reich. »
C’est ce que l’auteur démontre pourtant dans son livre Le Pacte germano-sioniste
(7 août 1933)[/i] (éditions Dualpha, Collection « Les Cahiers Libres d’Histoire »)
dont le titre est un clin d’œil au pacte germano-soviétique du 23 août 1939 :
« Dans un cas comme dans l’autre, nous avons affaire à des ennemis jurés
qui jugent plus profitable de s’entendre, peut-être parce que, au-delà
d’une convergence momentanée d’intérêts,ils présentent plus de caractéristiques
communes qu’on ne le croit.
Entre le national-socialisme et le sionisme, les similitudes abondent également,
d’autant plus frappantes qu’elles prennent souvent la forme d’une convergence idéologique.
Mais la comparaison entre les deux pactes s’arrête là.
Ils n’ont pas eu les mêmes conséquences pour la bonne raison que les sionistes
de Palestine, peu nombreux et encore sous tutelle britannique, n’avaient pas
dans le monde le même poids ni la même influence que les communistes russes.
En signant un pacte de non-agression avec Staline, le Führer a réussi à neutraliser
momentanément l’Internationale communiste, voire même à la faire travailler
à son profit, notamment en France par le sabotage de l’effort de guerre,
tandis que son accord de collaboration avec les sionistes,
qui ne représentaient alors qu’eux-mêmes, n’a en rien désarmé l’hostilité
de la communauté juive internationale à l’égard du IIIe Reich. »
Jean-Claude Valla, (1944-2010) a été le premier directeur de la rédaction
du Figaro Magazine et l’auteur de nombreux livres d’histoire.
De même, il fut le directeur de Magazine Hebdo (1983-1985) avant de diriger
La Lettre de Magazine Hebdo.
Ancien collaborateur d’Historia, d’Historama, du Miroir de l’histoire
et d’Enquête sur l’histoire, il collaborait depuis 2002 à la
Nouvelle Revue d’histoire de Dominique Venner.
Il fut président d’honneur du Comité français des fils et filles de victimes
des bombardements de la Seconde Guerre mondiale (2001-2005).
Ses Cahiers libres d’histoire ont, dès leur parution, rencontré un énorme succès
qui ne se dément pas et sont sans cesse réédités.
Commander l’ouvrage :
http://francephi.com/boutique/le-pacte-germano-sioniste-7-aout-1933/
« Chaïm Arlosoroff, directeur du département politique de l’Agence juive
et proche collaborateur de Ben Gourion, a effectué un voyage en Allemagne
au mois de juin 1933.
Ami d’enfance de la femme de Goebbels, Chaïm Arlosoroff a probablement joué
de ses relations pour préparer le terrain de la négociation.
À peine rentré en Palestine, plusieurs semaines avant que l’accord ne soit signé,
il fut accusé par un journal de s’être “roulé aux pieds du Führer ” et assassiné,
le même jour,sur une plage de Tel-Aviv. »
Tom Segev, historien israélien, in Le Septième Million. Les Israéliens et le Génocide.
Tom Segev
Wiki :
http://www.franceculture.fr/oeuvre-le-septi%C3%A8me-million-de-tom-segev.html
Certains semblent avoir la mémoire courte....
dans l’entre-deux-guerres.
Dans l’avant propos de son livre Le Pacte germano-sioniste,Jean-Claude Valla écrit :
« Dans aucun manuel d’histoire vous ne trouverez mention
d’un pacte germano-sioniste.
Seuls quelques livres spécialisés, pour la plupart anglo-saxons ou israéliens,
évoquent la réunion du 7 août 1933 au ministère allemand de l’Économie,
au cours de laquelle des représentants de l’Agence juive et de l’Organisation
sioniste mondiale ont signé avec de hauts fonctionnaires du Reich ce que
l’on a appelé pudiquement l’accord de la haavara
(du mot hébreu haavara qui signifie : transfert). »
De quoi s’agissait-il ?
« (…) d’organiser le transfert vers la Palestine de capitaux
que les Juifs allemands, candidats à l’émigration,
souhaitaient emporter avec eux.
Cet accord technique, nous le verrons,ne fut que le premier acte
d’une étroite collaboration et joua un rôle décisif dans le développement
économique de cette région sous-développée qu’était la Palestine. »
Cette collaboration inimaginable pour beaucoup de nos contemporains
est pourtant confirmée par l’historien israélien Eliahu Ben Elissar :
« Personne ne connaît et sans doute ne pourra jamais déterminer
avec précision ni la date où fut prise la décision fatale d’exterminer
physiquement les Juifs ni les circonstances réelles dans lesquelles elle intervint.
Tout cependant tend à prouver que bien après son accession au pouvoir,
le Führer poursuivait encore une politique qui ne devait pas obligatoirement
déboucher sur une issue de cette nature. »
Et Jean-Claude Valla d’indiquer :
« La gêne des historiens à évoquer librement cette affaire tient au fait
que la Shoah occupe aujourd’hui une place considérable dans les esprits
et que cette hypertrophie de la Mémoire déforme complètement la vision
que l’on peut avoir des événements qui ont précédé la Seconde Guerre mondiale.
Si la Shoah est “indicible” comme certains le prétendent,il devient presque
impensable de dire que des sionistes ont collaboré avec le IIIe Reich. »
C’est ce que l’auteur démontre pourtant dans son livre Le Pacte germano-sioniste
(7 août 1933)[/i] (éditions Dualpha, Collection « Les Cahiers Libres d’Histoire »)
dont le titre est un clin d’œil au pacte germano-soviétique du 23 août 1939 :
« Dans un cas comme dans l’autre, nous avons affaire à des ennemis jurés
qui jugent plus profitable de s’entendre, peut-être parce que, au-delà
d’une convergence momentanée d’intérêts,ils présentent plus de caractéristiques
communes qu’on ne le croit.
Entre le national-socialisme et le sionisme, les similitudes abondent également,
d’autant plus frappantes qu’elles prennent souvent la forme d’une convergence idéologique.
Mais la comparaison entre les deux pactes s’arrête là.
Ils n’ont pas eu les mêmes conséquences pour la bonne raison que les sionistes
de Palestine, peu nombreux et encore sous tutelle britannique, n’avaient pas
dans le monde le même poids ni la même influence que les communistes russes.
En signant un pacte de non-agression avec Staline, le Führer a réussi à neutraliser
momentanément l’Internationale communiste, voire même à la faire travailler
à son profit, notamment en France par le sabotage de l’effort de guerre,
tandis que son accord de collaboration avec les sionistes,
qui ne représentaient alors qu’eux-mêmes, n’a en rien désarmé l’hostilité
de la communauté juive internationale à l’égard du IIIe Reich. »
Jean-Claude Valla, (1944-2010) a été le premier directeur de la rédaction
du Figaro Magazine et l’auteur de nombreux livres d’histoire.
De même, il fut le directeur de Magazine Hebdo (1983-1985) avant de diriger
La Lettre de Magazine Hebdo.
Ancien collaborateur d’Historia, d’Historama, du Miroir de l’histoire
et d’Enquête sur l’histoire, il collaborait depuis 2002 à la
Nouvelle Revue d’histoire de Dominique Venner.
Il fut président d’honneur du Comité français des fils et filles de victimes
des bombardements de la Seconde Guerre mondiale (2001-2005).
Ses Cahiers libres d’histoire ont, dès leur parution, rencontré un énorme succès
qui ne se dément pas et sont sans cesse réédités.
Commander l’ouvrage :
http://francephi.com/boutique/le-pacte-germano-sioniste-7-aout-1933/
« Chaïm Arlosoroff, directeur du département politique de l’Agence juive
et proche collaborateur de Ben Gourion, a effectué un voyage en Allemagne
au mois de juin 1933.
Ami d’enfance de la femme de Goebbels, Chaïm Arlosoroff a probablement joué
de ses relations pour préparer le terrain de la négociation.
À peine rentré en Palestine, plusieurs semaines avant que l’accord ne soit signé,
il fut accusé par un journal de s’être “roulé aux pieds du Führer ” et assassiné,
le même jour,sur une plage de Tel-Aviv. »
Tom Segev, historien israélien, in Le Septième Million. Les Israéliens et le Génocide.
Tom Segev
Wiki :
http://www.franceculture.fr/oeuvre-le-septi%C3%A8me-million-de-tom-segev.html
Certains semblent avoir la mémoire courte....
Jean Bart- Administrateur
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Age : 79
Localisation : Braunau/Inn (Autriche)
Re: L'incroyable pacte entre les sionistes et nazis.
L’accord entre les sionistes et les nazis.
Adolf Hitler aurait été « le principal sponsor économique de l’État d’Israël »
selon l’auteur de The Transfer Agreement (Le Contrat de Transfert) dès 1933.
Edwin Black, juif américain dont les parents seraient des « survivants de l’Holocauste »
et qui auraient émigré aux États-Unis après la fin de la guerre,
raconte l’histoire d’un pacte secret conclu en août 1933 entre l’État nazi
et les juifs sionistes allemands et internationaux pour rendre possible le transfert de capitaux,
de juifs et de produits industriels en Palestine britannique entre 1933 et 1939.
Suite :
http://quenelplus.com/videos/le-contrat-de-transfert-hitler-le-co-fondateur-de-letat-disrael.html
Adolf Hitler aurait été « le principal sponsor économique de l’État d’Israël »
selon l’auteur de The Transfer Agreement (Le Contrat de Transfert) dès 1933.
Edwin Black, juif américain dont les parents seraient des « survivants de l’Holocauste »
et qui auraient émigré aux États-Unis après la fin de la guerre,
raconte l’histoire d’un pacte secret conclu en août 1933 entre l’État nazi
et les juifs sionistes allemands et internationaux pour rendre possible le transfert de capitaux,
de juifs et de produits industriels en Palestine britannique entre 1933 et 1939.
Suite :
http://quenelplus.com/videos/le-contrat-de-transfert-hitler-le-co-fondateur-de-letat-disrael.html
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